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Auteur | Réflexion sur la série de "Ondine" de laure Angelis |
Manège carrousel
Nous a rejoints le : 27 Juil 2005 Messages : 1 171 Réside à : Paris |
(Oui, donnez la réponse aux questions que vous posez, zut ! )
Eh bien mes amis ! Qui aurait cru que les grandes interrogations de Chat au moment où il doit "choisir" entre Ondine et la route me serviraient un jour lors d'un écrit de concours ?! Pas moi, en tout cas... |
Zebre Zebra One
Nous a rejoints le : 19 Oct 2001 Messages : 13 984 Réside à : Lyon |
Tu veux développer ? |
Manège carrousel
Nous a rejoints le : 27 Juil 2005 Messages : 1 171 Réside à : Paris |
Ben... disons que j'ai eu l'occasion d'exploiter le dilemme de quelqu'un dont le plus grand rêve était d'emmener celle qu'il aime avec lui sur la route, et qui voit ce rêve s'écrouler quand la demoiselle en question se retrouve en fauteuil roulant. (Oui, j'ai quand même pas mal adapté, mais le point de départ me plaisait.)
Ca te va ?! |
Miss Pomme Petite pomme
Nous a rejoints le : 12 Mai 2005 Messages : 4 661 Réside à : ...je ne suis pas parisienne... |
Désolée, je réponds avec un peu de retard (en fait, j'avais oublié que j'avais posé la question et j'avais aussi oublié dans quel fuseau ) Bref, j'arrive, me voilà ne vous énervez pas.
Bravo Mayeul , c'est bien ce qu'il fallait trouver. Le destin de Ralfsen est quelque peu flou puisque l'auteur le fait mourir à deux endroits différents (mais pas en même temps). Il me semble (mais ça fait longtemps que je n'ai pas lu ces livres) que dans "le prince Eric "(donc le deuxième tome), il est écrit quelque chose comme "mais Ralfsen reconquerra dans le sable saharien plus d'honneur qu'il n'en a perdu et mourra ( ) le visage dans le sable..." La citation n'est pas exacte mais l'idée y est. Par contre, dans "Ainsi régna le Prince Eric",( tome 6), pendant la guerre, Eric vois Ralfsen à l'hopital en train d'agoniser et c'est marqué (là aussi la citation est quelque peu écorchée) "Ralfsen pu ainsi mourir en ayant obtenu le pardon de son prince". Enfin, c'est une histoire comme ça. La seule solution, c'est que Ralfsen est ressuscité entre temps. Sinon, je ne vois pas comment il aurait pu mourir deux fois. Ca ne m'étonne pas trop puisque Dalens a écrit les deux derniers tomes bien plus tard ("Eric le Magnifique" et "Ainsi régna le Prince Eric"), surtout le dernier il me semble et par conséquent, c'est normal que tous les détails ne lui soient pas revenus. Je suppose que pour le destin de Ralfsen, on a du lui dire quelques dizaines de fois qu'il s'était trompé. Voilà voilà. Si vous avez d'autres énigmes... je suis chercheuse. Dommage, y a pas de smileys avec une petite loupe. |
Zebre Zebra One
Nous a rejoints le : 19 Oct 2001 Messages : 13 984 Réside à : Lyon |
Ben si ! Il a très bien pu être touché à mort dans le désert mais ne succomber qu'à l'hopital. Quand on dit d'un soldat qu'il est mort dans les tranchées de Verdun, c'est pas forcément exactement là qu'il a rendu le dernier soupir. Mais c'est là qu'il a été tué. |
Zero Membre confirmé
Nous a rejoints le : 12 Mars 2006 Messages : 4 713 Réside à : Ailleurs |
Citation: ouais, enfin, se faire tirer dessus en algérie et mourir dans un hopital lorrain, excuse-moi, mais même moi je n'y arrive pas... surtout qu'on parle d'abord de "une balle dans la tête, du sang plein la bouche, une croix dans le sable..." pour l'algérie... et que dans la mort d'éric, au début du livre on le voit en pleine forme... |
Zebre Zebra One
Nous a rejoints le : 19 Oct 2001 Messages : 13 984 Réside à : Lyon |
"Le vent ne nous emportera pas", on voit bien ce que tu veux dire (+ le lien avec autant en emporte le vent) mais c'est vrai que c'est trop lourd.
Mes idées: "Ce que le vent n'emporte pas" (j'aime bien) "Le vent nous laissera" "Nous avons vaincu le vent" (bof) |
CASTORE Rongeur
Nous a rejoints le : 08 Fév 2005 Messages : 3 258 Réside à : wwwest |
Malgré le vent
A travers vent Contre vents et marées... on peut remplacer le mot "vent" par une de ses appellations si le Roman se passe régionalement (mistral pour le sud par ex...) ou par le mot "tornade, tempête, orage et j'en passe... |
Zero Membre confirmé
Nous a rejoints le : 12 Mars 2006 Messages : 4 713 Réside à : Ailleurs |
ou alors, "les aventures de tartempion au pays des popochons" !!!
mayeul, tu es bon à mettre aux oubliettes. excxusez-moi, j'ai pas pu m'en empêcher... mon humour est en baisse... je voulais détendre un peu l'atmosphère (qui n'en avait pas besoin, mais baste ! c'est spontanné ) |
lambertine Grand membre
Nous a rejoints le : 03 Juil 2006 Messages : 531 Réside à : Mons- Belgique |
Moui... moui... moui... quand même...
je suis nouvelle ici, et je n'ai pas lu "Ondine" (qui m'intéresse...) mais je voudrais quand même savoir : qu'est-ce que le "côté masculin" et le "côté féminin" ? Parce que ça me semble très "cliché", ça... |
Lynx 2 Membre actif
Nous a rejoints le : 12 Avr 2006 Messages : 166 Réside à : Rhône |
D'accord avec toi. La définition "serait" ce qui est généralement et communément considéré comme une attitude garçon ou une attitude fille.
relire les commentaires précédents. il y a une sorte de polémique à ce sujet. |
Zebre Zebra One
Nous a rejoints le : 19 Oct 2001 Messages : 13 984 Réside à : Lyon |
('suis d'accord avec lambertine, j'ai jamais aimé ces histoires de côté féminin chez l'homme ou côté masculin chez la femme... mais je me tais, sinon on me traite de macho qui refoule son côté féminin - merci donc de l'avoir dit) |
Manège carrousel
Nous a rejoints le : 27 Juil 2005 Messages : 1 171 Réside à : Paris |
d'avoir dit quoi, au juste ?
C'est quoi, cette remarque de petit garçon brimé, Zèbre ?! Le problème de ces histoires de "côté masculin" et "côté féminin", c'est que non seulement c'est vague, mais c'est aussi effectivement assez cliché. Notre erreur est d'être passé dessus sans nous donner la peine de définir ces "notions"... Au fond, je suis presque sûr qu'on serait tous plus ou moins d'accord. |
Zebre Zebra One
Nous a rejoints le : 19 Oct 2001 Messages : 13 984 Réside à : Lyon |
Exactement, je suis brimé !!
|
Zero Membre confirmé
Nous a rejoints le : 12 Mars 2006 Messages : 4 713 Réside à : Ailleurs |
ça se voit |
Lynx 2 Membre actif
Nous a rejoints le : 12 Avr 2006 Messages : 166 Réside à : Rhône |
Je cite Fleur des sables : J'ai longtemps hésité, mais je tenais absolument à faire revenir Hugues. Cela s'est imposé à moi au fur et à mesure de l'écriture du troisième volume.
Ce que je constate en écrivant, c'est que si le début du livre appartient à l'auteur la fin du livre appartient aux personnages. Au départ, notre volonté d'auteur agit probablement davantage à partir d'une idée qui a mûri lentement dans nos cerveaux. À la fin, une certaine logique s'empare de chacun des personnages qui les conduit tout naturellement à agir d'une façon qui leur est propre et qui ne correspond pas forcément à la volonté de l'auteur. La plupart des auteurs admettent que les personnages ont leur propre vie. Ce qui est passionnant quand on écrit, c'est justement de les voir vivre. Je me suis toujours dit que Dieu ressent cette jouissance à nous voir vivre. C'est ce qui rapproche l'écrivain du Créateur. |
Zebre Zebra One
Nous a rejoints le : 19 Oct 2001 Messages : 13 984 Réside à : Lyon |
Tout à fait d'accord !
Il y a un sentiment effectivement presque démiurgique à se rendre compte au cours de son écriture que ses personnages ne nous sont plus soumis comme on le croyait, qu'on ne peut plus en faire ce qu'on avait prévu parce qu'il faut conserver une certaine cohérence, et que des épisodes nous ont fait agir tel perso dans tel sens et que c'est donc devenu un comportement acquis. |
Manège carrousel
Nous a rejoints le : 27 Juil 2005 Messages : 1 171 Réside à : Paris |
Tiens, j'ai loupé un truc, moi !
En fait, je suis d'accord (et mille fois) sur le fond, mais il me semble qu'il existe un niveau supplémentaire. Il y a le "comment je voudrais que le personnage agisse", le "comment il est logique qu'il agisse"... et le "comment il agit effectivement". Le premier niveau nous échappe, mais je pense qu'il y a un vrai défi à passer du deuxième au troisième. Plus clairement : j'ai constaté que j'avais beau avoir construit le personnage en lui donnant toute la logique nécessaire pour prendre une décision dans une situation donnée, je suis parfois surpris de le voir bousculer son propre caractère (a priori contre toute attente). C'est un peu comme si les besoins de l'histoire le rattrapaient tout de même, mais surtout comme s'il disposait de suffisamment de "libre-arbitre" pour ne pas être seulement un individu surdéterminé. Je veux dire par là que je me méfie encore plus des comportements supposés acquis (même si je vois ce que tu veux dire par là) que des contingences du récit. En l'occurrence, pour le cas cité du retour d'Hugues, il faudrait demander à Fleur-des-Sables, mais j'ai davantage l'impression qu'elle évoquait la nécessité de ne pas laisser le personnage à l'abandon, de lui "ouvrir une porte", bien plus qu'un comportement qu'il lui aurait imposé. |
Zebre Zebra One
Nous a rejoints le : 19 Oct 2001 Messages : 13 984 Réside à : Lyon |
Mais peut-être cette porte ouverte était-ele imposée par son comportement (non, un être si méchant n'existe pas) ?
je suis parfois surpris de le voir bousculer son propre caractère (a priori contre toute attente). Oui, mais il faut que ce caractère ou bien soit cohérent avec l'esprit du personnage, ou bien que cela constitue une évolution que tu prendras en comtpe par la suite, ou bien à la limite un traumatisme que tu prendra aussi en compte par la suite. Si tu refuses de le prendre en compte, alors il y a erreur. illustration : Ondine voit Hugues harceler une de ses amies pour lui soutirer des renseignements. Tu peux décider qu'elle prend un couteau dans le tiroir, qu'elle s'approche de lui et qu'elle le menace avec assez de colère pour effrayer ce brave Hugues qui va réellement la croire prête à le tuer. Ce comportement ne colle pas avec le personnage, donc c'est gênant, mais c'était peut-être la seule idée qui te soit venue pour sortir de là l'amie d'Ondine. Si tu adopte néanmoins ce comportement, alors il faut ou bien faire qu'il amorce un tournant dans le caractère d'Ondine (elle est prête à faire du mal pour ses amis), ou bien un traumatisme dont elle aura bien du mal à guérir (qu'ai-je fait, mon dieu qu'ai-je fait ?). Mais dans les deux cas, cette infraction à sa ligne comportementale ne devra pas rester un "accident de parcours". Tu seras obligé de compter avec. |
Manège carrousel
Nous a rejoints le : 27 Juil 2005 Messages : 1 171 Réside à : Paris |
Certes. Je parlais essentiellement de la logique du personnage en amont.
Nous-même, il nous arrive de nous surprendre dans certaines circonstances. L'exemple du couteau n'est pas mauvais : on peut très bien concevoir une situation qui dépasse ce qu'on peut imaginer de la part du personnage. C'est aussi ce qui fait qu'il existe, qu'il n'est plus seulement le "pantin" de l'auteur. Mais nous sommes bien d'accord que tout ce qui a été vécu doit ensuite être pris en compte. (D'ailleurs, c'est ce qui rend le jeu amusant ! ) |
Fleur-des-Sables Joyeux membre
Nous a rejoints le : 25 Avr 2006 Messages : 297 Réside à : Pyrénées |
Bonjour à tous, je sors le nez de mon trou et de mes cartons! Dites-moi, vous êtes "achement" sérieux, Zèbre et Manège!
Pour Rafsen, je suis bien contente de la réponse, miss Pomme!!! Me voilà confirmée dans mes soupçons. Pour le personnage, je suis amusée : le truc du couteau, j'aurai du y penser. Ondine transforme Hugues en saucisson et sauve Chantal... et notre miss finit à la Légion ou en taule. ( ) Je rejoins Zèbre : c'est une rupture apparente du caractère du personnage et cela le modifie. Ce genre de situation, c'est ce que j'appelle un noeud. Il oblige l'écrivain à dévoiler ou créer une nouvelle facette au personnage et parfois même à l'histoire, révélant quelque chose du passé, du présent ou initiant l'avenir. c'est parfois bon de s'obliger à mettre son bonhomme en situation complexe pour faire avancer toute la machine. Efficace mais parfois rude! Cela m'oblige à réécrire certains passages, parce que je mets du temps à trouver la sortie pour mon personnage. Mais parfois, les choses nous échappent quand même, parce que quelque chose jaillit, d'imprévu au scénario, d'irraisonné et s'impose à nous. Le retour d'Hugues, par ex. Moi, je l'avais jeté aux oubliettes. Jusqu'à ce qu'il vienne pratiquement me dire lui-même que l'histoire ne serait pas achevée sas que l'on sache son propre chemin. D'où l'histoire avec les deux orphelins et la grande lettre. Mais au-delà de ça, il y avait quand même une porte ouverte volontaire dans le scénario, au début du livre: je le laisse partir à la Légion, alors qu'il devrait se trouver en taule et que monsieur Baillac, en tant que juge avait le devoir de porter l'affaire en justice, sans quoi ce serait une faute grave de sa part. J'ai écarté le problème juridique - pas assez bien, cependant- et laissé cette porte, cette possibilité de départ et de nouvelle vie. Merci Zèbre et Castor pour vos suggestions de titre. j'aime vraiment bien "Ce que le vent n'emporta pas". Et ce n'est pas en référence à une pimbêche du Sud ( ) mais aux vers de ce bon Ruteboeuf : Que sont mes amis devenus, il a venté devant ma porte et le vent les emporta ( il parle de ses amis l'abandonnant dans la misère, ce qui est triste pour lui... et pour eux!). Bon, il paraît que Ruteboeuf n'était pas si à plaindre mais sa poésie a cela de vrai : les temps d'épreuve font voir les amis véritables et solides. |
CASTORE Rongeur
Nous a rejoints le : 08 Fév 2005 Messages : 3 258 Réside à : wwwest |
Ce serait donc plutôt : ceux que le vent n'emporta pas... |
Manège carrousel
Nous a rejoints le : 27 Juil 2005 Messages : 1 171 Réside à : Paris |
J'ai failli faire la même remarque, Castore, et puis je me suis ravisé...
Finalement, je trouve que "ce", en étant plus ambigu que "ceux", donne un aspect plus général au titre, ce qui le rend plus joli et laisse chacun se construire son interprétation personnelle. (En plus, si j'ai bien compris, il ne faudrait pas dire "ceux", mais... "celles" !) Cela dit, c'est plutôt le passé simple qui me gêne. Je verrais mieux un présent ou un futur... |
Fleur-des-Sables Joyeux membre
Nous a rejoints le : 25 Avr 2006 Messages : 297 Réside à : Pyrénées |
Mmm... les deux propositions sont tentantes.
Ceux que le vent n'emporta pas, ce sont les amis. Car même si on commence avec un trio de filles, elles ne vivent pas dans un univers d'amazones. Il y a aussi des amis garçons. Donc, en bonne logique grammairienne... ce serait "ceux que le vent n'emporta pas", les amis véritables. Mais "ce que le vent n'emporta pas" peut s'accorder au sentiment lui-même: le vent n'a balayé ni l'amitié ni la fidélité. Ahhh, difficile de trancher... Mais je crois préférer la seconde manière, car elle implique le côté "neutre" d'une liste : le vent n'emporta ni nos sentiments fraternels nis nos amis, ni, ni, ni... Quant au temps, il paraît plus logique vu de l'intérieur du livre ( ce qui n'est pas votre cas, encore que je puisse vous balancer les 32 fichiers des 32 chapitres écrits, mais y a pas encore la fin...). En effet, on arrive à la fin à un bilan personnel des héros où, leur vie étudiante derrière eux, leur vie adulte commencée, ils s'aperçoivent que contre vents et marées, on ne les a pas lâchés, et ils font donc le bilan de cette amitié. Au regard de ce passé où elle fut fidèle, l'avenir est prometteur, certes, mais le livre s'arrête au bilan. Bon, c'est du chinois, mes explications. Qui a compris ? Voili-voilà. |
Manège carrousel
Nous a rejoints le : 27 Juil 2005 Messages : 1 171 Réside à : Paris |
Je crois que j'ai compris... c'est normal ?!
Mais bon... c'est surtout au niveau de la sonorité que le passé simple me gênait... "Ce que le vent n'a pas emporté" ? ... D'accord, d'accord : je n'insiste pas ! |
CASTORE Rongeur
Nous a rejoints le : 08 Fév 2005 Messages : 3 258 Réside à : wwwest |
Manège
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Lynx 2 Membre actif
Nous a rejoints le : 12 Avr 2006 Messages : 166 Réside à : Rhône |
Vu la dernière explication de Fleurs des Sables et ce que je connais du bouquin, il faut trouver quelque chose de court qui résume l'idée suivante:
Le vent de la vie a soufflé, les amitiés ont tenu le coup. Passe le vent, nous resterons amis. Passe la vie, nous resterons amis. Passe la vie, reste l'ami. Coule la vie, reste l'ami. Je ne trouve toujours pas... |
Fleur-des-Sables Joyeux membre
Nous a rejoints le : 25 Avr 2006 Messages : 297 Réside à : Pyrénées |
Et maintenant, cher Lynx, que tu as lu le début d'Enora, que penses-tu du titre ? "Ce que le vent n'emporta pas" ?
Pour les fans de Lynx, nous étions à une dédicace à Brive la Gaillarde... Rencontre sympa avec l'auteur de Ségolène... Il n'y a pas à dire, les dédicaces, c'est sympathique du côté public lorsqu'on discute avec nos lecteurs, amis aussi du côté auteurs lorsqu'on parle ensemble de tous nos projets. Et maintenant, je vais enfin pouvoir me remettre à écrire! Je viens de corriger la 6ème réédition d'Ondine. J'espère avoir supprimé beaucoup de !, quelques "comte" et autres détails... C'est du boulot. Que ne ferait-on pas pour les copains ??? |
Fou de Bassan Membre confirmé
Nous a rejoints le : 11 Mai 2005 Messages : 1 308 Réside à : Le Chesnay |
Lynx? L'auteur de Ségolène? Mais c'est le scoop du siècle!
Et Fleur-des sables, pourquoi ne pas le mettre au présent ce titre? "Ce que le vent n'emporte pas"..A mon sens, cela sonne aussi bien, et il n'y a pas forcément de contre-sens, étant donné qu'un bilan peut être l'occasion de sortir une "vérité générale" (oui, c'est un mot moche. )... |
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