En 1943, au plus fort du conflit le plus âpre que l’humanité ait connu, Américains et Allemands décident, comme si c’était la chose la plus naturelle au monde, de procéder à un échange : les plans d’un gyroscope qui permettra aux bombardiers américains de voler à très haute altitude contre les diamants industriels qui feront marcher les fusées du III^ème Reich.

Ce troc scandaleux sera supervisé, à Buenos Aires, par Eric Rhinemann, un Juif en exil, nazi convaincu, choisi par les Allemands. De leur côté les Américains dépêchent sur place leur meilleur agent, David Spaulding, qui ignore tout de l'échange. S'il apprenait la vérité, cela ferait un témoin terriblement gênant pour les gouvernements alliés. Malheureusement, il découvre vite une vérité encore plus monstrueuse que ce qu'il imaginait.

Je viens d'apprendre que Ludlum avait aussi écrit sous divers pseudonymes, dont... Michel Sherperd. Ce qui en français, se traduit par... ]

Texte:

Quatrième de couverture :
À la veille du débarquement allié de 1944, une unité d’élite, la compagnie E de la 101e division aéroportée de l’armée de terre américaine – 140 hommes –, est parachutée dans l’arrière-pays normand. Au prix de combats meurtriers, elle va contribuer à bloquer la contre-offensive allemande. Puis, après une mission aéroportée en Hollande, la compagnie E se battra dans les Ardennes, avant de poursuivre sa marche héroïque jusqu’à Berchtesgaden, le nid d’aigle de Hitler… Historien, spécialiste de la Seconde Guerre mondiale, l’auteur a dépouillé les archives et rencontré les survivants pour composer, jour par jour, le récit de cette extraordinaire épopée.

Texte:

"'I cherish the memories of a question my grandson asked me the other day when he said, Grandpa, were you a hero in the war?' Grandpa said 'No… but I served in a company of heroes…'"
(lettre du Sergent Ranney à Winters)

Citation:

Le 2012-02-01 21:02:00, Fidèle Hirondelle a écrit :

Je vois qu'on a les mêmes goûts en matière de bouquins Nablette!

Citation:

Le 2012-01-07 14:25:00, Ocelot GA a écrit :

aux passionnés de la 2nde GM, précipitez-vous dessus !

En revanche, je ne survivrai pas au visionnage du film .

Texte:

"Nous avions du mal à croire que des gens comme Winters, Matheson, Nixon et les autres puissent exister, se souviendra le soldat Rader. Ces gars-là étaient de premier ordre, et il nous paraissait miraculeux qu'ils se soucient de nous et acceptent de partager notre vie et nos épreuves. Ils nous ont appris à avoir confiance ne nous... Winters a bouleversé nos vies. [...]"
C'était un officier qui obtenait le maximum de ses hommes parce qu'il n'attendait d'eux qu'une seule chose: qu'ils donnent le meilleur d'eux-mêmes. "On l'aimait tellement qu'on aurait détesté ne pas se montrer à la hauteur." Les hommes de la compagnie E l'idôlatraient et l'idôlatrent aujourd'hui encore.
"On avait tellement envie de ces ailes"

Texte:

Son code de conduite se résumait en deux mots: "Suivez-moi."
[...] Tous les membres de la compagnie E que j'ai interviewés pour ce livre m'ont affirmé que Winters était, sur le terrain, le meilleur officier qu'ils aient jamais vu.
L'île

Texte:

"J'espère que vous prenez bien soin de vous (plus que je ne vous ai vu le faire jusque là) car il existe trop peu d'hommes comme vous et certainement personne pour vous remplacer."
Lettre de Leo Boyle à Winters, octobre 1944, d'un hôpital
Se reposer, refaire ses forces et se rééquiper

Texte:

"La première chose que j'essayerais de vous expliquer, c'est que tous les soldats qui ont servi sous vos ordres - je devrais plutôt dire à vos côtés, puisque c'est ainsi que vous conceviez le commandement - vous aiment et ne vous oublierons jamais.Vous êtes pour moi le plus grand soldat que j'aie rencontré. [...] Vous avez été mon idéal et ma motivation au combat. Le petit commandant que nous connaissons tous les deux vous a résumé en deux mots: 'Le soldat le plus courageux, le plus brave que j'ai connu.' [...] Vous savez à présent pourquoi je vous aurais suivi jusqu'en enfer. Quand j'étais à vos côtés, je savais que tout se passerait bien."
Lettre de Talbert à Winters, septembre 1945
La vie rêvée pour un soldat

Texte:

"Vous aviez le bonheur (certains parleraient de récompense) de jouir du respect et de l'admiration unanimes de cent vingt soldats, essentiellement des civils en uniforme, qui vous auraient suivi jusque dans la mort."
Lettre de Smith à Winter, après guerre
Carrières d'après-guerre