Citation:

Le 2011-01-06 17:36:00, Peredil a écrit :

Citation:

Le 2011-01-06 17:23:00, Mayeul a écrit :

Je suis converti au bol.

C'est vrai, quand on y pense, le bol c'est carrément plus pratique que l'assiette pour manger quand on est étudiant (parce que rappel : une des caractéristique de l'étudiant est de ne jamais manger sur une table ). Sauf quand on a des plats vachement compliqués à découper et tout, mais dans la majeure partie des cas j'abandonne l'assiette.

Et à la toute fin de tes études, quand tu mangeras tes nouilles au fromage (500g de pâtes pour 500g de fromage râpé) dans un saladier pour ne pas salir tes bouquins, tu pourras dire que le saladier est la juste continuité du bol

Citation:

Le 2011-01-07 10:41:00, epervier loiret a écrit :

Au MRJC, on parlait bien d'auge...ça donnait de chouettes conversation au moment de servir à table; amène ton auge....

Texte:

La rue assourdissante autour de moi hurlait.
Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,
Une femme passa, d'une main fastueuse
Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.
Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,
Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté
Dont le regard m'a fait soudainement renaître,
Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !
Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !

Texte:

Elle a passé, la jeune fille
Vive et preste comme un oiseau
À la main une fleur qui brille,
À la bouche un refrain nouveau.

C'est peut-être la seule au monde
Dont le coeur au mien répondrait,
Qui venant dans ma nuit profonde
D'un seul regard l'éclaircirait !

Mais non, - ma jeunesse est finie ...
Adieu, doux rayon qui m'as lui, -
Parfum, jeune fille, harmonie...
Le bonheur passait, - il a fui !