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Auteur | Et aujourd'hui bonne fête à... |
Ptit Ours Grand membre
Nous a rejoints le : 18 Juin 2004 Messages : 681 Réside à : TOULOUSE |
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Amodeba Bretagne
Nous a rejoints le : 06 Sept 2004 Messages : 4 687 Réside à : Bzh |
Je reprends le flambeau.
Aujourd'hui 15 Mars, nous fêtons : Sainte Louise de Marillac (1591-1660) Fille naturelle d'un grand seigneur, elle est élevée par les religieuses dominicaines de Poissy. En 1613, mariée à un simple bourgeois, elle devient Mademoiselle Le Gras. Son fils Michel lui donnera beaucoup de soucis. A 34 ans, elle se retrouve veuve. C'est alors qu'elle rencontre saint Vincent de Paul. Subjuguée par la charité contagieuse du prêtre, elle devient rapidement sa collaboratrice dans toutes ses actions charitables. En 1633, ils fondent ensemble la "Compagnie des Filles de la Charité", appelée communément Soeurs de Saint Vincent de Paul. Louise, supérieure de la nouvelle communauté, oriente les soeurs vers tous les exclus de son temps : elle crée des petites écoles pour les fillettes pauvres; elle organise l'accueil et l'éducation des enfants trouvés; elle développe la visite à domicile pour les malades pauvres; elle envoie des soeurs auprès des galériens... Une passion l'habite : l'amour de l'homme créé à l'image de Dieu et racheté par le sang de son Fils unique. Comme Monsieur Vincent, elle mourra à la tâche. Son corps repose à Paris au 140 rue du Bac. Veuve très tôt, elle fut guérie de ses doutes sur la foi par son directeur de conscience Saint Vincent de Paul. Il la prit alors comme collaboratrice dans son œuvre visant à s'occuper des personnes abandonnées et malades. Ensemble, ils fondèrent la Congrégation des Filles de la Charité en 1633. Bbx Antoine de Milan, Monald d'Ancône et François de Fermo, martyrs (+ 1286) St Aristobule, martyr (1er s.) St Clément-Marie Hofbauer (+ 1820) Ste Lucrèce, martyre (+ 859) Bse Malcodia, ermite (+ 1090) St Manuel le Crétois, martyr (+ 1792) Ste Matrone, martyre (+ 350) St Ménigne, martyr (+ 251) St Nicandre, martyr (v. 304) Bx Placide Riccardi, moine (+ 1915) St Raymond de Fitera, abbé (+ 1163) St Sisebut, abbé (+ 1082) St Spécieux, o.s.b. (v. 555) St William Hart, martyr (+ 1583) St Zacharie, pape (+ 752) St Longin, martyr (1er s.) Amodeba |
Amodeba Bretagne
Nous a rejoints le : 06 Sept 2004 Messages : 4 687 Réside à : Bzh |
Aujourd'hui nous fêtons :
SAINT JOSEPH D'ARIMATHIE Les Eglises d'Orient font mémoire de ce membre du Sanhédrin, disciple de Jésus, qui obtint que lui soit remis le corps de Jésus et l'ensevelit dans le tombeau de son jardin, dans l'attente de la Résurrection du Seigneur. La légende en Occident le fait venir en Gaule avec Lazare, Marthe et Marie, puis, selon le cycle du Saint-Graal, il aurait apporté en Angleterre le vase qui avait servi à la Cène, puis au calvaire pour recevoir le sang du Christ. SAINT PATRICK évêque Apôtre de l'Irlande (385-461) Confesseur. A 16 ans, Patrick, jeune gallois d'une famille chrétienne est enlevé par des pirates et vendu comme esclave en Irlande. Il y passe six ans puis s'enfuit et retrouve ses parents. Après un séjour en France où il est consacré évêque, il se sent appelé à revenir dans cette Irlande de sa servitude pour l'évangéliser. Il y débarque en 432 et multiplie prédications et conversions dans une population dont, par force, il connaît bien les coutumes et la langue. Au Rock de Cashel, lors d'un sermon demeuré célèbre, il montra une feuille de trèfle : voilà la figure de la Sainte Trinité. Les figures de triades étaient familières à la religion celtique : le trèfle deviendra la symbole de l'Irlande. On pense que la plupart des druides devinrent moines, adoptant la religion chrétienne présentée avec tant de finesse et de conviction. Lorsque meurt Patrick, à Armagh, l'Irlande est chrétienne sans avoir compté un seul martyr et les monastères y sont très nombreux. St Agricole de Chalon-sur-Saône, évêque (+ 580) St Gabriel Lalemant, martyr (+ 1649) St Joseph d'Arimathie (1er s.) St Macaire de Koliazino (+ 1483) St Paul de Chypre, martyr (+ 775) Bx Pierre Lieou, martyr (+ 1834) Amodeba |
Amodeba Bretagne
Nous a rejoints le : 06 Sept 2004 Messages : 4 687 Réside à : Bzh |
Saint Joseph (Ier siècle)
"C'était un juste". selon l'évangile de saint Matthieu, chapitre 1, verset 19. Les évangélistes ne nous ont conservé aucune parole de ce "juste", le charpentier de Nazareth en Galilée, fiancé Marie, la Mère de Dieu, époux aussi discret que fidèle et chaste. Père nourricier et éducateur de Dieu le Fils, devenu homme parmi les hommes de ce village, il le fait tout simplement. L'ange lui avait dit :" Ne crains pas de prendre chez toi, Marie, ton épouse." et Joseph prit chez lui Marie son épouse. - "L'ange lui avait dit :" Lève-toi, prends l'enfant et sa mère." et Joseph se leva, prit l'enfant et sa mère et s'enfuit en Egypte. Il est un vrai fils d'Abraham : il croit et fait ce que Dieu lui dit. Lorsque Jésus disparaît pendant trois jours lors du pèlerinage à Jérusalem, Joseph accompagne la quête de Marie :" Ton père et moi nous te cherchions." Et Jésus, même s'il se consacre désormais "aux affaires de son Père" n'en est pas moins soumis à celui qui, sur terre, a autorité paternelle sur lui. Le Père savait à qui il confiait son Fils unique et sa Mère. St Adrien, martyr (+ 668) St Alcmond, martyr (v. 800) Bx André de Gallerani, fondateur (+ 1251) St Auxile de Killossey, évêque (v. 460) St Colocer (6ème s.) St Corbase, abbé (7ème s.) St Dimitrios le Tourneur, martyr (+ 1564) St Jean le Syrien de Pinna, ermite (6ème s.) Sts Landoald et Amance de Wintershoven, prêtre et diacre (v. 668) Sts Apollonius et Léonce, évêques et martyrs (+ 640) Bx Marcel Callo, martyr (+ 1945) fuseau en l'honneur de ce scout béatifié. St Panchaire, martyr (+ 303) Amodeba |
Luigi Membre familier
Nous a rejoints le : 08 Sept 2004 Messages : 395 Réside à : Toulouse |
!!! |
Hypocam Membre confirmé
Nous a rejoints le : 12 Janv 2004 Messages : 2 017 Réside à : Paris 15ème, mais Normande pour toujours |
C'est aussi la sainte Sybille (ou Sibille): dominicaine de Pavie, au XIVème siècle, aveugle, vécut emmurée dans une cellule. Une lucarne lui permettait de recevoir la communion et enseigner le catéchisme. Fête le 19 mars.
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Amodeba Bretagne
Nous a rejoints le : 06 Sept 2004 Messages : 4 687 Réside à : Bzh |
SAINT NICOLAS de FLÜE
Ermite en Suisse (1417-1487) Saint Nicolas de Flüe naquit en Suisse, de parents pieux. Un jour, à la vue d'une flèche élancée, sur une montagne voisine, il fut épris du désir du Ciel et de l'amour de la solitude. Il se maria pour obéir à la volonté formelle de ses parents et eut dix enfants. Son mérite et sa vertu le firent choisir par ses concitoyens pour exercer des fonctions publiques fort honorables. Sa prière habituelle était celle-ci: "Mon Seigneur et mon Dieu, enlevez de moi tout ce qui m'empêche d'aller à Vous. Mon Seigneur et mon Dieu, donnez-moi tout ce qui peut m'attirer à Vous." Il avait cinquante ans, quand une voix intérieure lui dit: "Quitte tout ce que tu aimes, et Dieu prendra soin de toi." Il eut à soutenir un pénible combat, mais se décida en effet à tout quitter, femme, enfants, maison, domaine, pour servir Dieu. Il s'éloigna, pieds nus, vêtu d'une longue robe de bure, un chapelet à la main, sans argent, sans provision, en jetant un dernier regard tendre et prolongé vers les siens. Une nuit, Dieu le pénétra d'une lumière éclatante, et depuis ce temps, il n'éprouva jamais ni la faim, ni la soif, ni le froid. Ayant trouvé un lieu sauvage et solitaire, il s'y logea dans une hutte de feuillage, puis dans une cabane de pierre. La nouvelle de sa présence s'était répandue bientôt, et il se fit près de lui une grande affluence. Chose incroyable, le saint ermite ne vécut, pendant dix-neuf ans, que de la Sainte Eucharistie; les autorités civiles et ecclésiastiques, saisies du fait, firent surveiller sa cabane et constatèrent la merveille d'une manière indubitable. La Suisse, un moment divisée, était menacée dans son indépendance par l'Allemagne. Nicolas de Flüe, vénéré de tous, fut choisi pour arbitre et parla si sagement, que l'union se fit, à la joie commune, et la Suisse fut sauvée. On mit les cloches en branle dans tout le pays, et le concert de jubilation se répercuta à travers les lacs, les montagnes et les vallées, depuis le plus humble hameau jusqu'aux plus grandes villes. Nicolas fut atteint, à l'âge de soixante-dix ans, d'une maladie très aiguë qui le tourmenta huit jours et huit nuits sans vaincre sa patience. Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950. Bse Clémence (+ 1176) Devenue veuve du comte de Spanheim, elle se fit religieuse à l'abbaye bénédictine de Trèves en Rhénanie, où elle mourut. Bx Alphonse de Rojas, o.f.m. (+ 1617) Bse Benedetta Cambiagio (+ 1858) St Birillus, évêque (v. 90) St Endée, abbé (v. 530) Bse Santucce Terrebotti, abesse (+ 1305) St Sérapion de Thmuis, évêque (v. 370) Amodeba |
Ptit Ours Grand membre
Nous a rejoints le : 18 Juin 2004 Messages : 681 Réside à : TOULOUSE |
c'etait ma fete alors !! |
Hypocam Membre confirmé
Nous a rejoints le : 12 Janv 2004 Messages : 2 017 Réside à : Paris 15ème, mais Normande pour toujours |
Dans le calendrier "saint Pie V" c'était la saint Benoît:
Le 21 mars 547 meurt saint Benoît de Nursie. Il laisse sans trop s'en douter un héritage qui va modeler la chrétienté d'Occident et contribuer à sa grandeur. Un ermite très populaire Benoît naît à Nursie, en Ombrie (Italie du centre), vers 480, dans une famille de petite noblesse. Il se réfugie même dans une grotte et tente de vivre en ermite, cependant que sa réputation de saint lui vaut d'être rejoint par d'autres ermites. Faute de pouvoir faire autrement, Benoît organise la vie de ses compagnons dans de petits monastères d'une douzaine de moines chacun. Pour finir, en 529, Benoît rassemble ses compagnons mi-moines, mi-ermites dans les ruines d'une forteresse, sur le mont Cassin, entre Naples et Rome. En 540, il édicte pour eux une règle très simple en 73 chapitres courts et un prologue. Elle combine la prière, le travail et la tempérance dans un climat d'équilibre et de paix. «Ora et labora» (prier et travailler) est sa devise. |
Hypocam Membre confirmé
Nous a rejoints le : 12 Janv 2004 Messages : 2 017 Réside à : Paris 15ème, mais Normande pour toujours |
Aujourd'hui 22 mars sainte Léa:
Romaine, d'une famille patricienne, sainte Léa vécut au IVe siècle. Une fois veuve, elle passa le reste de sa vie au service des religieuses de la communauté de Sainte-Marcelle |
Amodeba Bretagne
Nous a rejoints le : 06 Sept 2004 Messages : 4 687 Réside à : Bzh |
Saint Victorien, Martyr (+ 484)
Hunéric, roi des Vandales d'Afrique, demanda à Victorien le gouverneur de Carthage d'emprisonner les chrétiens qui n'embrasseraient pas l'arianisme (hérésie), à commencer par Victorien lui-même. Il refusa. La réponse de Hunéric fut de le mettre à mort. Bse Sibylle Biscossi, vierge (+ 1367) St Alphonse Turibe de Mogrovejo, archevêque (+ 1606) Bse Annunciata-Asteria Cocchetti, fondatrice (+ 1882) St Basile de Yaroslav (+ 1600) St Benoît de Campanie, ermite (v. 550) St Ethelwald, ermite (+ 699) St Eusèbe, évêque (+ 600) St Joseph Oriol, prêtre (+ 1702) Sts Liberat, Boniface, Servus, Rustique, Rogat, Septime et Maxime, martyrs (+ 483) St Marbett, prêtre et martyr (+ 1120) Sts Nicon et comp., martyrs (v. 250) St Nicon de Kiev, moine (+ 1088) St Pachome de Nerekhta, moine (+ 1384) Ste Philotée (+ 1430) Bx Pierre de Gubbio, o.s.a. (v. 1350) Bse Rebecca d'Himlaya (+ 1914) St Turibe de Mongrovejo, évêque (+ 1606) Amodeba |
'tit bout Membre
Nous a rejoints le : 14 Mars 2005 Messages : 26 Réside à : nul part, tout en étant partout !!! |
t'en a d'autre comme ça ??? |
Muscardin Loir
Nous a rejoints le : 11 Janv 2004 Messages : 1 775 Réside à : Belgique, Bruxelles |
Sainte fête de Pâques à tous , et bonne fête à toutes les cloches! [ Ce Message a été édité par: Muscardin le 26-03-2005 23:24 ] |
Patte serviable patte
Nous a rejoints le : 10 Mai 2004 Messages : 1 280 Réside à : Un coin de Champagne... (après le Berry) |
aujourd'hui lundi de paques, on fete la
Saint Gontran (545-592) Petit-fils de Clovis et de Sainte Clotilde. Il est, à 16 ans, roi d'Orléans, de Bourgogne, du Berry. Il connut cette époque féroce et cruelle où la reine Frédégonde fit assassiner sa soeur, son beau-frère, son mari et l'évêque Prétextat. Clotaire II fit périr Brunehaut, reine d'Austrasie, en l'attachant à un cheval au galop. Gontran lui-même fit bien quelques écarts dans la fidélité conjugale, répudia sa femme, crime qu'il ajoutait à bien d'autres. Et puis, il se convertit, pleura ses péchés pendant le reste de sa vie, racheta ses fautes par ses grandes libéralités envers les pauvres, qui le surnommèrent "le bon roi Gontran". Il essaya toujours de réconcilier ses frères et fit fonder de nombreux monastères. Vers la fin de sa vie, il entra au monastère Saint Marcel de Châlon sur Saône. Peu après sa mort, il fut proclamé saint par son peuple. |
Amodeba Bretagne
Nous a rejoints le : 06 Sept 2004 Messages : 4 687 Réside à : Bzh |
Aujourd'hui nous fêtons deux Apôtres :
SAINT PHILIPPE et SAINT JACQUES LE MINEUR Apôtres (Ier siècle) Saint Philippe était de Bethsaïde, en Galilée, patrie de saint Pierre et de saint André. Le Sauveur, dès les premiers jours de Sa vie publique, le rencontra et lui dit: "Suis-Moi!" Après la Pentecôte, il alla prêcher dans les immenses contrées de l'Asie supérieure; il évangélisa longtemps les Scythes, puis les Galates, les Phrygiens, et c'est dans la ville d'Hiérapolis, en Phrygie, qu'il confirma sa prédication par le témoignage de son sang. Un jour que le peuple offrait de l'encens à un gros serpent qu'il regardait comme une de ses divinités principales, Philippe, saisi de compassion, se jette à terre et supplie Dieu de délivrer ces malheureux de la tyrannie du serpent infernal. L'affreuse bête expire aussitôt. Le peuple se montrait disposé à accepter la doctrine d'un homme qui opérait de telles merveilles; mais les magistrats et les pontifes s'emparèrent de l'Apôtre, le battirent de verges, le clouèrent à une croix et l'accablèrent de pierres. A sa mort, la terre trembla et plusieurs édifices s'écroulèrent. Saint Jacques, appelé le Mineur pour le distinguer de Jacques le Majeur, frère de saint Jean, était né à Cana, en Galilée; il était de la tribu de Juda et cousin de Notre-Seigneur selon la chair. La tradition affirme qu'il ressemblait au Sauveur, et que les fidèles aimaient à regarder en lui une vivante image de leur Maître remonté dans le Ciel. Jacques eut un frère, Apôtre comme lui, nommé Jude, et ses deux autres frères, Joseph et Simon, furent disciples de Jésus. Après la Pentecôte, quand les Apôtres se partagèrent le monde, Jacques se fixa à Jérusalem, pour la conversion spéciale des Juifs. Son autorité était très grande dans l'Église primitive, et, au concile de Jérusalem, c'est lui qui, le premier après saint Pierre, prit la parole. Il nous reste de lui une belle Épître. Les conversions nombreuses et éclatantes opérées par son ministère lui suscitèrent des ennemis. Les princes des Juifs le firent monter sur la terrasse du temple et lui dirent: "Juste, nous avons confiance en toi; parle et dis-nous la vérité sur Jésus!" Le saint Apôtre s'écria: "Pourquoi m'interrogez-vous sur le Christ? Il siège dans les Cieux à la droite de la Majesté divine, et un jour Il reviendra sur les nuées du Ciel." La foule approuvait ces paroles; mais les chefs, jaloux, précipitèrent le vieillard du haut en bas. Brisé dans sa chute, le martyr trouve encore la force de se mettre à genoux et de prier Dieu pour ses bourreaux, en répétant la parole du Sauveur: "Seigneur, pardonnez-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font." Un foulon l'étendit mort d'un coup de levier sur la tête. Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950. Les autres saints du jour : Antonine (7me s.) Ahmed le Calligraphe (+ 1682) Sts Alexandre, Evence et Théodule, martyrs (v. 113) St Alexandre Ier, pape (+ 117) Aufroi (+ 1008) Colaède (+ 520) Emilie Bicchieri (+ 1314) Juvenal (+ 376) Pierre d'Argos (10ème s.) Théodose de Kiev Théodose de Petchersk (+ 1074) Timothée et Maure (+ 228) |
Muscardin Loir
Nous a rejoints le : 11 Janv 2004 Messages : 1 775 Réside à : Belgique, Bruxelles |
Ce fuseau est en train de sombrer dans l'oubli!
Aujourd'ui, on dit tous : Bonne fête Rico! Ici, dernier message |
Miss Pomme Petite pomme
Nous a rejoints le : 12 Mai 2005 Messages : 4 661 Réside à : ...je ne suis pas parisienne... |
Aujourd'hui, c'est la saint Eric et il me semble qu'il y a au moins un Eric sur le forum mais... je ne me souviens plus de son nom d'utilisateur. C'est pas grave, bonne fête Eric quand même.
(en plus, y'en a p't-être plusieurs alors comme ça, ça va pas faire de jaloux) ___________ "Il n'y a pas de plus grand Amour que de donner sa vie pour ceux qu'on aime" (Jn 15, 13) |
Patte serviable patte
Nous a rejoints le : 10 Mai 2004 Messages : 1 280 Réside à : Un coin de Champagne... (après le Berry) |
il est vrai que je peux continuer entre deux dossiers...
Saint Eric de Suède Martyr d'origine anglaise. Eric IX était roi de Suède depuis 1150. Il usa de toute son influence pour évangéliser ses sujets par la codification des lois de son royaume qu'il rédigea dans un esprit chrétien, sans vouloir les forcer à la conversion. Il décida de conquérir la Finlande, autant pour l'expansion de son domaine que pour y porter l'Evangile. Il fut assassiné à la sortie d'une messe à Turku, port situé au sud-est de la Finlande. http://nominis.cef.fr . [ Ce Message a été édité par: Rico le 18-05-2005 13:05 ] |
Rico Membre familier
Nous a rejoints le : 30 Août 2003 Messages : 397 Réside à : Le Mans actuellement étudiant à Angers |
Merci à toutes et à tous et bonne fête aux autres Eric du forum.
Je vais tout de même compléter en ce qui concerne la vie de mon St Patron. En Suède il améliore la vie des femmes traitées jusque là en esclaves. Il est attaqué pendant une messe par le prince du Danemark et meurt sous les coups de son ennemi. Eric est donc mort en martyr vers 1160. Le prénom Eric vient du Germain "ehre" et "rik" : "riche en honneur". Rico |
Miss Pomme Petite pomme
Nous a rejoints le : 12 Mai 2005 Messages : 4 661 Réside à : ...je ne suis pas parisienne... |
Qu'est-ce que tu fais à Angers ? J'ai pleins d'amis là-bas !! |
Hypocam Membre confirmé
Nous a rejoints le : 12 Janv 2004 Messages : 2 017 Réside à : Paris 15ème, mais Normande pour toujours |
Bonne fête Rico... |
Amodeba Bretagne
Nous a rejoints le : 06 Sept 2004 Messages : 4 687 Réside à : Bzh |
Bonne Fête Rico :) |
Oryx Membre confirmé
Nous a rejoints le : 13 Mai 2003 Messages : 3 798 Réside à : Paris |
Pareillement ! |
Patte serviable patte
Nous a rejoints le : 10 Mai 2004 Messages : 1 280 Réside à : Un coin de Champagne... (après le Berry) |
SAINT BERNARDIN de SIENNE de l'Ordre de Saint-François (1380-1444) Le principal caractère de la vie de ce grand Saint, c'est son amour extraordinaire pour la très Sainte Vierge. Né le 8 septembre 1380, jour de la Nativité de Marie, Bernardin fut privé, tout jeune, de ses nobles et pieux parents; mais il trouva dans une de ses tantes une véritable mère. Voyant un jour cette femme refuser de donner à un pauvre, il lui dit: "Pour l'amour de Dieu, donnez à ce pauvre; autrement je ne prendrai rien aujourd'hui." Sa pureté était si grande, que le moindre mot inconvenant l'affligeait profondément: "Silence, disaient les étudiants quand ils le voyaient apparaître au milieu de leurs conversations trop libres, silence, voici Bernardin!" A dix-sept ans, il entra dans une confrérie de garde-malades, et soigna pendant quatre ans, dans un hôpital, avec un dévouement et une douceur rares, toutes les infirmités humaines. Se traitant lui-même avec la dernière dureté, il ne songeait qu'aux besoins des autres; il parut surtout héroïque dans une peste affreuse, où il s'imposa mille fatigues et brava mille fois la mort. L'inspiration du Ciel le conduisit alors chez les Franciscains, qui le lancèrent bientôt dans la prédication. Grâce à la bonté de sa Mère céleste, sa voix, faible et presque éteinte, devint inopinément claire et sonore; Bernardin fut un apôtre aussi brillant par son éloquence que par sa science, et opéra en Italie de merveilleux fruits de salut. Faisant un jour l'éloge de la Sainte Vierge, il Lui appliqua cette parole de l'Apocalypse: "Un grand signe est apparu au Ciel." Au même instant, une étoile brillante parut au-dessus de sa tête. Une autre fois, parlant en italien, il fut parfaitement compris par des auditeurs grecs qui ne connaissaient que leur langue maternelle. Un jour, un pauvre lépreux lui demanda l'aumône; Bernardin, qui ne portait jamais d'argent, lui donna ses souliers; mais à peine le malheureux les eut-il chaussés, qu'il se senti soulagé et vit disparaître toute trace de lèpre. Bernardin, allant prêcher, devait traverser une rivière et ne pouvait obtenir le passage de la part d'un batelier cupide auquel il n'avait rien à donner. Confiant en Dieu il étendit son manteau sur les eaux, et, montant sur ce frêle esquif, passa la rivière. C'est à Bernardin de Sienne que remonte la dévotion au saint Nom de Jésus: il ne pouvait prononcer ce nom sans éprouver des transports extraordinaires. Il a été aussi un des apôtres les plus zélés du culte de saint Joseph. Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950. |
Angharad Membre confirmé
Nous a rejoints le : 03 Janv 2005 Messages : 1 211 Réside à : Nantes |
Bonne fête à tous ceux qui sont fêtés durant l'un des 365 ou 366 jours de l'année |
Rico Membre familier
Nous a rejoints le : 30 Août 2003 Messages : 397 Réside à : Le Mans actuellement étudiant à Angers |
Aïe, dire que j'ai failli l'oublier!
Bonne fête à toutes les Jeanne, et à tous les Ferdinand, Mais aussi et surtout Bonne fête à la France puisqu'elle se trouve sous le patronnage de Jeanne d'Arc. Demain sera encore un jour de fête nationale (oui,oui, je ne rigoles pas) puisque c'est la Ste Pétronille et qu'elle est aussi patronne secondaire de la France. Demain, je mettrai un peu de lecture sur Ste Pétronille. Rico |
Rico Membre familier
Nous a rejoints le : 30 Août 2003 Messages : 397 Réside à : Le Mans actuellement étudiant à Angers |
Je vous avais Promis de la lecture, en voilà!
Excusez-moi de ne pas citer mes sources mais je n'arrive pas à les déciffrer. SAINTE PETRONILLE VIERGE ET MARTYRE (Ier siècle) I - VIE Aurélia Pétronilla est une Romaine de sang patricien. Descendante de Titus Flavius Pétrone, elle est apparentée à la famille impériale des Flaviens. Outre son nom patronymique, nous en avons la preuve dans le fait qu’elle fut ensevelie dans le cimetière de Flavia Domitilla. (C’était alors une règle absolue, issue des mœurs païennes, de n’admettre dans le cimetière familial aucune personne étrangère.) Mais elle appartenait à la branche chrétienne non régnante de cette famille. Pétronille fut probablement catéchisée et baptisée par Saint Pierre. C’est pour cette raison que plusieurs documents lui donnèrent le titre de « fille de Pierre ». Cette vierge avait pour le prince des Apôtres une Grande vénération et mérita d’être l’objet de sa plus paternelle tendresse, si bien qu’elle fut considérée comme sa fille spirituelle adoptive. Dans les temps qui suivirent, l’expression filia Sancte Petri fit illusion, et une opinion erronée s’accrédita jusqu’au XVIIe siècle, selon laquelle Pétronille aurait été la propre fille de Saint Pierre, née avant la vocation apostolique de ce dernier. Quant au nom même de Pétronille, on doit pour se conformer aux règles de la langue latine, le faire dériver de Pétronius, non de Petrus. Si l’on a cru voir en Pétronille un diminutif de Petrus, c’est que sans y prendre garde, on a reporté sur les noms une relation qui n’existait qu’entre les personnes. Les Actes des Saints Nerée et Achilée, exilés avec Flavie Domitille dans l’île de Pantia et martyrisés sous Domitien (81-96), contiennent une lettre adressée par Marcel, fils de Marc, préfet de Rome, à ces saints durant leur relégation. Ce document relate la guérison miraculeuse de notre vierge. Pétronille, y est-il dit, s’était consacrée au service de Saint Pierre. Atteinte de paralysie, elle ne put bientôt plus s’acquitter de son travail. Tite disciple de l’apôtre, lui demanda alors : « Pourquoi ne la guéris-tu pas ? – Parce qu’il est bon d’être dans cet état. Mais afin que l’on ne crois pas que ces paroles dissimulent une incapacité : Lève-toi commanda, Saint Pierre à la paralytique, et sers nous. » Ce qu’elle fit aussitôt. L’apôtre lui ordonna ensuite de se recoucher pour continuer d’être éprouvée par la maladie. Mais le Seigneur la maintint en santé. Le récit suivant, contenu dans la même lettre, est sujet à caution pour la raison que nous dirons plus loin. Pétronille était d’une grande beauté. Aussi le comte Flaccus s’éprit-il d’elle et vint-il, escorté de soldats, pour l’emmener et l’épouser. Mais la vierge, désirant rester fidèle à son époux céleste, lui répondit qu’elle ne consentirait à le suivre que trois jours plus tard, et entourées des dames et de jeunes filles vertueuses de Rome. Pétronille passa ce délai dans le jeune et la prière, en compagnie de Félicula, sa sœur de lait, parfaite, elle aussi, en la crainte de Dieu. Après avoir entendu la Sainte Messe et reçu le Corps Sacré du Christ, elle s’étendit sur son lit et rendit l’esprit. Les dames et les vierges, envoyées pour lui faire un cortège nuptial, durent donc se résoudre à célébrer les funérailles de la sainte endormie dans le Seigneur. Cette bienheureuse mort devrait être placée durant l’exil des Saints Nerée et Achilée : probablement entre 90 et 96. Mais cette version a contre elle un témoin de premier ordre. Une fresque de la catacombe de Flavie Domitille représente une femme, nommée Veneranda, accueillie du ciel par Petronella martyre. Elle joue ici le rôle prêté à Saint Pierre dans d’autres représentations. Celles-ci sont sans doute à l’origine de la légende selon laquelle toute âme est introduite au paradis par celui qui en a reçu les clefs. Cette peinture prouve que Pétronille était déjà l’objet d’un culte ; or on sait qu’à cette époque ce culte ne pouvait être que celui des martyrs. Et nous avons la certitude qu’il s’agit bien de notre sainte, puisque les Actes de Nerée et Achilée précisent que Pétronille fut, effectivement ensevelie dans la propriété de Domitille. Sainte Pétronille doit donc être rangée parmi les vierges martyres. Une basilique, édifiée en l’honneur de la sainte à l’endroit de sa sépulture, sur la Via Ardéatine, fut découverte en 1874. Le pape Grégoire III (731-741) y établit une station annuelle, le mercredi de la troisième semaine de Carême. Dans la suite, le corps de Sainte Pétronille fut transporté en l’église vaticane où le pape Léon III (795-816) dota son autel de très riches ornementations. II - CULTE 1°) Sainte Pétronille et la France Clovis, roi des Francs, vainqueur des Alamans à Tolbiac (près de Cologne) avec l’aide du Dieu de Clothilde, se convertit et reçu le baptême catholique en 496. A cette même date, Anastase II montait sur le siège de Saint-Pierre. Ce pape profita de la coïncidence pour écrire au royal néophyte une lettre admirable. Faisant allusion au grand nombre de Barbares qui descendirent avec leur chef, dans le baptistère, il s’exprime ainsi : « Que l’Eglise, votre mère, se réjouisse de l’accroissement d’un tel fils qu’elle vient d’enfanter à Jésus-Christ, son époux. Glorieux et illustre fils, soyez la consolation de votre mère… un protecteur capable de la défendre contre ses ennemis. » Dans ces premières paroles du chef de l’Eglise à la nation franque se trouvait déjà implicitement contenu le titre de « Fille aînée de l’Eglise » qui lui fut plus tard décerné. Au temps d’Etienne II (752-757) qui fit appel à Pépin le Bref contre les Lombards, on se souvint qu’il y avait à Rome les restes d’une vierge chrétienne, tenue pour la fille de Saint Pierre, Pétronille, son enfant de prédilection. L’application spirituelle s’imposa : Sainte Pétronille devint la personnification de la France chrétienne, le symbole de ses relations avec la papauté. C’est sur son nom, sur son tombeau que l’Eglise et la France contractèrent une nouvelle alliance. Pépin prit à cœur ce culte symbolique envers la patronne que l’Eglise lui offrait et demanda pour elle les plus grands honneurs. Telle fut l’origine du transfert de ses reliques à l’église vaticane où Paul Ier, frère et successeur d’Etienne II leur dédia un oratoire construit tout exprès. Les saints ossements furent portés triomphalement : le père et la fille (spirituelle) étaient désormais réunis. Pépin, profondément touché de ces attentions, voulu sceller ses excellents rapports avec le pape sur la châsse même de sainte Pétronille. A sa demande, le pape accepta le parrainage par procuration de sa fille Gisèle et célébra la Sainte Messe en action de grâces, à l’autel de la protectrice du roi des Francs. Sous le règne de Charlemagne, c’est Carloman qui eut l’honneur d’être le filleul d’Adrien Ier. Le baptême eut lieu dans la basilique de la sainte. L’empereur, les évêques, les abbés et les grands de l’empire franc rivalisèrent de piété et de munificence avec Léon III envers Sainte Pétronille devenue la patronne officielle, nationale, de la France. On en vint à appeler sa basilique la chapelle des rois de France. Parmi eux Louis XI et Charles VIII se distinguèrent par leur dévotion et leur générosité. Le cardinal Jean de Villiers de la Groslaye, abbé de Saint Denis, fit exécuter par Michel-Ange et placer dans ce sanctuaire la célèbre Pieta. L’office de la sainte était célébré selon le rite double et sa messe comportait le Gloria et le Credo. Ce culte, toutefois, alla déclinant peu à peu et s’éteignit au début du XVIIe siècle. Vers 1600, la France n’exerçait plus son droit de patronage sur la vénérable chapelle. A cette époque, l’église connue sous le vocable de Saint-Louis-des-Français avait progressivement supplanté l’antique oratoire des rois de France au Vatican. La chapelle de Sainte Pétronille fut démolie sous Paul III ; les restes de la vierge furent portés dans l’oratoire voisin de Saint André où le reliquaire et le chef reçurent leurs reliquaires respectifs. En 1889, le cardinal Langénieux se souvint des rapports séculaires de Pétronille avec la France. Ce que Sainte Pétronille avait été pour la « Fille aînée de l’Eglise » en la personne de ses rois, pourquoi ne le serait-elle pas en la personne de son peuple ? L’alliance fut donc renouvelée et Léon XIII remis officiellement le gouvernement de la République Française en possession de la chapelle de Sainte Pétronille, sanctuaire qui fait actuellement partie de la grande basilique Saint Pierre et qui est située sous la petite coupole de droite en allant à la chaire de l’Apôtre. Une lampe brûle jour et nuit, aux frais de la France, devant l’autel de la fille adoptive de Saint Pierre, en symbole de la fidélité de notre patrie envers la Sainte Eglise. 2°) Attributs L’art populaire représente Sainte Pétronille tenant un balai, signifiant ainsi les travaux ménagers auxquels la noble patricienne se dévoua par amour envers le Christ et Saint Pierre. On l’invoque contre les fièvres parce qu’elle en souffrit longtemps avec patience. 3°) Reliques On trouve, en divers lieux, mention de reliques de sainte Pétronille, mais leur authenticité paraît douteuse : monastère de la Barre, près de Château-Thierry (à la fin du XIIIe siècle, d’après le martyrologue gallican) ; Abbaye Sainte Perrine (Pétronille), à la Villette, près de Paris (XVIIe siècle) ; Ursulines d’Allemagne (d’après Crumbach) ; Dominicains de Cologne (d’après Gelenius) ; Cathédrales de Namur, Bologne, Naples, Oviedo. D’après le calendrier liturgique de Paris de 1686, Sainte Pétronille était honorée dans la chapelle des Quinze-vingt (hospice pour aveugles fondé par Saint Louis), rue Saint Honoré à Paris. Rico |
Rico Membre familier
Nous a rejoints le : 30 Août 2003 Messages : 397 Réside à : Le Mans actuellement étudiant à Angers |
Bien que je sois déçu que personne n'ai réagi à mon dernier message, je tiens à souhaiter une bonne fête aux Justin et Justine.
Rico |
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