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Auteur | Et aujourd'hui bonne fête à... |
Johan Membre actif
Nous a rejoints le : 24 Avr 2004 Messages : 110 Réside à : Laval |
Ah, et bien bonne fete petite soeur, elle s'apelle Bettina.
[ Ce Message a été édité par: Johan le 17-11-2004 18:27 ] |
Matthieu Dauphin
Nous a rejoints le : 14 Juin 2004 Messages : 379 Réside à : Nantes |
Je souhaite une bonne fête à tous les Tanguy
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Oryx Membre confirmé
Nous a rejoints le : 13 Mai 2003 Messages : 3 798 Réside à : Paris |
19.XI
Calendrier "Paul VI" : saint Tanguy Citation:Source : Nominis Calendrier "st Pie V" : sainte Elisabeth de Hongrie cf ici |
Domino Christo Servire Joyeux membre
Nous a rejoints le : 05 Oct 2004 Messages : 253 Réside à : Bordeaux |
aujourd'hui bonne fète au Roy
et demain bonne fet a toutes les cécile dont ma soeur et musique |
Matthieu Dauphin
Nous a rejoints le : 14 Juin 2004 Messages : 379 Réside à : Nantes |
Bonne fête à toutes les
Cécile Célia Sheila |
Oryx Membre confirmé
Nous a rejoints le : 13 Mai 2003 Messages : 3 798 Réside à : Paris |
22.XI : sainte Cécile, vierge martyre Citation:Source : Nominis |
Oryx Membre confirmé
Nous a rejoints le : 13 Mai 2003 Messages : 3 798 Réside à : Paris |
23.XI : saint Clément I°, Pape martyr Citation:Source : Missel |
Matthieu Dauphin
Nous a rejoints le : 14 Juin 2004 Messages : 379 Réside à : Nantes |
Bonne fête à Clément donc,
ainsi qu'à Clémentine et rachilde. [ Ce Message a été édité par: Matthieu le 23-11-2004 08:16 ] |
Patte serviable patte
Nous a rejoints le : 10 Mai 2004 Messages : 1 280 Réside à : Un coin de Champagne... (après le Berry) |
on fete aussi:
St Colomban, abbé (+ 615) Adalbert (+ 1045) St Alexandre Nevsky (+ 1263) Alle (7me s.) Amphiloque (+ 394) Corbinien (+ 730) Daniel (+ 545) Ermenfroy (7ème s.) Sainte Félicité, veuve et martyre romaine (+ 150) Grégoire d'Agrigente (+ 603) Laouenan (6ème s.) Lucrèce Vierge et martyre à Mérida (+ 304) Miguel Augustin Pro (+ 1927) Paulin (+ 505) Phalier Ermite originaire de Limoges (+ 525) Rachilde Recluse allemande (+ 946) Sisine (4ème s.) Trond Prêtre en Hesbaye, Belgique (+ 690) Vulfétrude Abbesse à Nivelles, nièce de sainte Gertrude (+ 669) Saint Colomban (VIème siècle) |
Matthieu Dauphin
Nous a rejoints le : 14 Juin 2004 Messages : 379 Réside à : Nantes |
Bonne fête à toutes les Flora.
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Patte serviable patte
Nous a rejoints le : 10 Mai 2004 Messages : 1 280 Réside à : Un coin de Champagne... (après le Berry) |
aujourd'hui on fete: Saint André Dung-Lac et ses compagnons (Morts entre 1840 et 1920)
André Dung-Lac était prêtre au Viêt-Nam. Avec ses compagnons, il eut à souffri le martyre. Parmi eux, 10 missionnaires français, 2 missionnaires espagnols, 96 Vietnamiens dont 37 prêtres et 59 laïcs, hommes et femmes.Ils furent tous canonisés en même temps par Jean-Paul II le 19 juin 1988, lors d'un de ses voyages en Asie. on fete aussi. Agnès Tsao-kouy (1826 - 1856) Sts Martyrs du Viêt-Nam (19ème s.) Agnès (+ 1856) Antoine Nam Quinh (+ 1840) Balsame Moine bénédictin (+ 1232) Bieuzy (6ème s.) Chrysogone Martyr à Aquilée (+ 304) Colman de Cloyne Abbé en Ecosse (+ 611) Conrad de Frisach (+ 1239) Eanflede (+ 700) Edolard (10ème s.) Firmine Martyre en Italie (+ 303) Kenan (+ 500) Laurent Pe-man (+ 1856) Malc (5ème s.) Marin (6ème s.) Mercure (3ème s.) Saint Pierre d'Alexandrie, évêque (+ 310) Pierre Dumoulin-Borie Martyr à Dong-Hoï, au Tonkin (+ 1838) Pourçain Ermite (6ème s.) Romain (+ 385) Sarre (7ème s.) Séverin (+ 540) Thaddée Lieu (+ 1823) Théodore d'Antioche (4ème s.) Walatta (+ 1643) Saintes Flora et Maria (Mortes en 851) |
Hypocam Membre confirmé
Nous a rejoints le : 12 Janv 2004 Messages : 2 017 Réside à : Paris 15ème, mais Normande pour toujours |
24.XI: calendrier Saint Pie V
Saint Jean de la Croix Saint Jean fut un des grands maîtres de la vie spirituelle. Entré chez les Carmes de Salamanque, il collabora avec Sainter Thérèse d'Avila à la réforme de l'Ordre du Carmel. D'une abnégation totale et pénétré d'un grand amour pour la croix du Sauveur, il faisait de l'austérité la condition indispensable de toute vie adonnée à la prière. Ses écrits mystiques ont fait de lui le docteur de la vie contemplative. il mourut en 1591. Pie XI l'a proclamé docteur de l'Eglise en 1926. On fait aussi mémoire de saint Chrysogone, martyr d'Aquilée sous Dioclétien. Son culte fut spécialement en honneur à Rome et à Ravenne; son nom est inscrit au canon de la messe romaine. [ Ce Message a été édité par: Hypocam le 24-11-2004 12:40 ] |
loulou du loup- Lynx P Membre confirmé
Nous a rejoints le : 10 Juil 2004 Messages : 980 Réside à : Bourgogne |
ça va oryx?
tu as tes sources je vois. c'est bien ces petites biographies, citations |
Oryx Membre confirmé
Nous a rejoints le : 13 Mai 2003 Messages : 3 798 Réside à : Paris |
Sérieusement, mes sources, je ne les avais pas avant. C'est ma participation à ce fuseau qui m'a fait les découvrir. En revanche, en fouillant un peu plus leur site, il y en a une qui me paraît un peu étrange. Il s'agit de Magnificat. Après, les textes qu'ils donnent sur les vies de saint sont tout à fait orthodoxes : pourquoi s'en priver ? Merci à Hypocam et Patte Serviable de m'aider dans cette tâche qui, on ne le dirait pas, mais prends un peu de temps quand on essaie de le faire tous les jours. |
Matthieu Dauphin
Nous a rejoints le : 14 Juin 2004 Messages : 379 Réside à : Nantes |
Bonne fête aux
Cathel Catherine (Labouré) Katel Katia Katy Ketty |
Patte serviable patte
Nous a rejoints le : 10 Mai 2004 Messages : 1 280 Réside à : Un coin de Champagne... (après le Berry) |
25 Novembre:
SAINTE CATHERINE D'ALEXANDRIE Vierge et Martyre (+ vers 307) Sainte Catherine naquit à Alexandrie, d'une famille de première noblesse. Comme elle ne se hâtait pas de recevoir le Baptême, Dieu lui envoya une vision où la Sainte Vierge la présentait au divin Enfant qui détournait les yeux avec tristesse, et disait: "Je ne veux point la voir, elle n'est pas encore régénérée." A son réveil, elle résolut de recevoir promptement le Baptême. Quand elle l'eut reçut, Jésus lui apparut, lui donna mille témoignages d'amour, la prit pour épouse en présence de Marie et de toute la cour céleste, et lui passa au doigt l'anneau de Son alliance. Catherine, douée d'une haute intelligence, suivit avec le plus grand succès les leçons des plus grands maîtres chrétiens de l'école d'Alexandrie, et acquit la science des Docteurs. Dans une grande fête du paganisme, célébrée en présence de l'empereur Maximin, elle eut la sainte audace de se présenter devant lui, de lui montrer la vanité des idoles et la vérité de la religion chrétienne. La fête terminée, Maximin, étonné du courage et de l'éloquence de la jeune fille, réunit cinquante des plus savants docteurs du paganisme et leur ordonna de discuter avec Catherine. Préparée par la prière et le jeûne, elle commença la discussion et fit un discours si profond et si sublime sur la religion de Jésus-Christ comparée au culte des faux dieux, que les cinquante philosophes, éclairés par sa parole en même temps que touchés de la grâce, proclamèrent la vérité de la croyance de Catherine et reçurent, par l'ordre du cruel empereur, le baptême du sang, gage pour eux de l'immortelle couronne. Cependant Maximin, malgré sa fureur, plein d'admiration pour la beauté et les hautes qualités de Catherine, espéra la vaincre par l'ambition en lui promettant sa main. Il essuya un refus plein de mépris. Pendant deux heures l'innocente vierge subit le supplice de la dislocation de ses membres sur un chevalet, et celui des fouets. Le lendemain, Maximin, surpris de la trouver plus belle et plus saine que jamais, essaya de triompher de sa résistance. Il la fit soumettre au terrible supplice des roues, mais les roues volèrent en éclats et tuèrent plusieurs personnes. Le tyran, confus de tous ces prodiges, ordonna de lui trancher la tête. Avant de mourir, elle avait demandé et obtenu deux choses de son divin Époux: que son corps fût respecté après le supplice, et que l'ère des persécutions prit bientôt fin. Plus tard, son corps fut transporté par les Anges sur le mont Sinaï. Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950. on fete aussi.. Alain de Lavaur De la région d'Albi (7ème s.) Albert de Louvain Evêque de Liège et Martyr (+ 1192) Alnoth (+ v.700) Bernold (+ v. 1050) Conrad d'Heisterbach (+ 1200) Ekbert Abbé bénédictin à Münsterschwarzach (+ 1075) Elisabeth la Bonne (+ 1420) Fintan (+ 878) Joconde (+ 466) Maurin (6ème s.) Mercure Stratopédarque, martyr à Césarée de Cappadoce (6ème s.) Mesrop (+ 441) Moïse (+ 251) Pierre l'Hésychaste (5ème s.) Réole (+ 698) Thélian (+ 580) |
Hypocam Membre confirmé
Nous a rejoints le : 12 Janv 2004 Messages : 2 017 Réside à : Paris 15ème, mais Normande pour toujours |
Pour une fois dans le missel romain, c'est la même chose!!!!! Donc qu'une biographie pour aujourd'hui!!
de rien Oryx... |
Matthieu Dauphin
Nous a rejoints le : 14 Juin 2004 Messages : 379 Réside à : Nantes |
26 novembre bonne fête à tous les
Conrad Delphine Kurt Mélanie |
Patte serviable patte
Nous a rejoints le : 10 Mai 2004 Messages : 1 280 Réside à : Un coin de Champagne... (après le Berry) |
le 26 Novembre
SAINT JEAN BERCHMANS Jésuite (1599-1621) Ce jeune Saint, patron des novices, naquit à Diest le 13 mars 1599, dans le diocèse de Brabant, en Belgique. C'est au sanctuaire de Notre-Dame de Montaigu qu'il fit voeu de chasteté perpétuelle. A l'âge de seize ans, une charité anonyme lui permit d'entrer au collège des Jésuites de Malines. En lisant les écrits du bienheureux Pierre Canisius et la vie de saint Louis de Gonzague mort vingt-cinq ans auparavant, Jean Berchmans se sentit attiré vers la Compagnie de Jésus. Il obtint difficilement le consentement de son père. Entré au noviciat de Malines, Jean s'y distingua par sa fidélité à observer la Règle et par une singulière amabilité de caractère. Dans le procès de sa canonisation, les témoins ont déclaré ne jamais l'avoir vu enfreindre une seule de ses Règles. «Plutôt mourir, disait-il, que de transgresser la moindre Règle.» Son exercice le plus cher était de faire le catéchisme aux petits enfants pauvres. A son édifiante piété, il alliait une gaîté qui charmait tous ceux qui avaient quelques rapports avec lui. Celui qui avait écrit: «Si je ne deviens pas un saint maintenant que je suis jeune, je ne le serai jamais», poursuivit son idéal de sainteté en vivant chaque journée dans un total abandon à Dieu. Sa confiance en Marie était sans limite. "Mon frère, confia-t-il un jour à un religieux, dès que j'ai songé à m'avancer dans la perfection, j'ai posé pour fondement de mon édifice, l'amour de la Reine du Ciel..." Devenu veuf, son père entra dans les Ordres et fut ordonné prêtre; vers le même temps, saint Jean Berchmans prononça les voeux traditionnels d'obéissance, pauvreté et chasteté. Ses supérieurs l'envoyèrent à Rome à pied, en compagnie d'un confrère, pour y compléter ses études. Arrivé au collège romain, le saint religieux occupa la chambre de saint Louis de Gonzague. Berchmans imita ses vertus tout en se montrant moins austère et plus gracieux. C'est à Rome que sonna son départ pour le ciel, à l'âge de vingt-deux ans et cinq mois. «C'est une mort toute divine, mes remèdes n'y peuvent rien», affirmait le médecin impuissant. Saint Jean Berchmans reçut les derniers sacrements avec une indescriptible ferveur. Avant de quitter la terre, le Saint eut à subir une dernière épreuve: le démon l'assaillit à deux reprises à l'article de la mort. Le pieux moribond serra son crucifix dans ses mains défaillantes, son chapelet et son livre des Règles: «Voici mes armes, dit-il, avec ces trois trésors, je me présenterai joyeusement devant Dieu.» Il renouvela ses voeux de religion et recouvra la paix. Prononçant les noms bénis de Jésus et de Marie, saint Jean Berchmans s'endormit paisiblement dans le Seigneur. Le vendredi 13 août 1621, la cloche du collège romain annonçait son départ pour les demeures éternelles. Léon XIII l'a canonisé le 15 janvier 1888. Résumé O.D.M. il y a aussi.. Bienheureuse Delphine (1283-1360) et aussi Bienheureux Jacques Alberione (1884-1971) prêtre et comme d'habitude les secondaires.. Albert de Haigerloch (+ 1311) Amateur (3ème s.) Basle (+ 620) Conrad de Constance Evêque de Constance (+ 975) Didier (+ 654) Diodore (+ 1633) Gautier d'Aulne (+ 1180) Jacques Benfatti (+ 1338) Jacques de Rostov (+ 1392) Jacques le Persan (4ème s.) Martin d'Arades (+ 726) Nikon le Métanoiète Moine en Grèce (+ 998) Réphaire (+ 728) Sirice Pape (38 ème) (+ 398) Sylvestre (+ 1267) Théodose de Tirnovo (+ 1363) Saint Léonard de Port-Maurice (1676-1751) [ Ce Message a été édité par: Patte serviable le 26-11-2004 09:24 ] |
Matthieu Dauphin
Nous a rejoints le : 14 Juin 2004 Messages : 379 Réside à : Nantes |
Aujourd'hui 29 novembre, bonne fête aux Saturnin.
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Patte serviable patte
Nous a rejoints le : 10 Mai 2004 Messages : 1 280 Réside à : Un coin de Champagne... (après le Berry) |
SAINT SATURNIN Évêque de Toulouse et Martyr (vers l'an 70) Saint Saturnin était fils de prince et d'origine grecque. On croit qu'attiré d'abord par la réputation de saint Jean-Baptiste, il fut ensuite l'un des soixante-douze disciples du Sauveur et eut le bonheur d'être témoin de la plupart des faits de Sa vie, ainsi que de Sa Résurrection et de Son Ascension. Après la Pentecôte, il accompagna souvent saint Pierre dans ses courses apostoliques, puis fut envoyé par lui dans les Gaules, en qualité d'évêque. Chemin faisant, il prêchait l'Évangile, fondait des chrétientés et détruisait l'empire du démon. À Arles et à Nîmes, il obtint de grands succès. À Carcassonne, il fut emprisonné pour Jésus-Christ, mais délivré par un ange. À Toulouse, une femme lépreuse fut guérie en sortant de la piscine baptismale, et ce prodige fut suivie de la conversion d'une bonne partie de la cité. De toutes parts on apportait au Saint des malades, il les guérissait par le signe de la Croix. Saturnin prêcha encore à Auch, puis à Pampelune, en Espagne; mais il revint à Toulouse, centre de son apostolat, qu'il devait arroser de son sang. Là, les dieux ne rendaient plus d'oracles. Les prêtres païens se concertèrent: "Si on laisse cet homme prêcher son Christ, dirent-ils, c'en est fait de notre culte." Saturnin vient à passer. La foule, ameutée par les prêtres, se saisit de lui; on lui crie: "Sacrifiez à nos dieux, ou malheur à vous!" Pour toute réponse, Saturnin prêche Jésus-Christ. Dieu même confirme Sa doctrine par un éclatant miracle, car au même moment les idoles du temple tombent de leur piédestal et se brisent. À cette vue, la rage des païens ne se contient plus. Il y avait au Capitole un taureau sauvage amené pour être immolé en sacrifice; on entoure son corps d'une grosse corde au bout de laquelle on attache le saint évêque par les pieds; puis l'animal est lâché et frappé à coups d'aiguillons; il se précipite, entraînant sa victime, dont le crâne est fracassé sur les marches du temple. Le taureau, poursuivant sa course effrénée à travers les rues, réduit en lambeaux le corps du martyr, jusqu'à ce qu'enfin la corde se brise et la victime reste étendue sans vie sur le chemin. C'est à cet endroit que s'élève aujourd'hui l'église qui, en souvenir, porte le nom de Notre-Dame-du-Taur. Le tombeau de l'apôtre de Toulouse est devenu célèbre par la dévotion populaire et par de nombreux prodiges. La Basilique Saint SERNIN de Toulouse trouve son origine dans le souhait d'honorer la mémoire de SATURNIN. Le nom latin " Saturnius ", a été transformé dans la langue d'Oc en " Sarni " puis francisé en " Sernin ". Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950. |
Matthieu Dauphin
Nous a rejoints le : 14 Juin 2004 Messages : 379 Réside à : Nantes |
30 novembre, bonne fête aux André et aux Andrée
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Hypocam Membre confirmé
Nous a rejoints le : 12 Janv 2004 Messages : 2 017 Réside à : Paris 15ème, mais Normande pour toujours |
30.XI: Saint André,apôtre
saint André fut le premier des disciples à connaitre Jésus; à l'appel du âître il quitta aussitôt ses filets pour le suivre et devenir "pêcheur d'hommes". Nous ignorons presque tout de sa carrière apostolique.Les récits anciens qui racontent son martyre et nous le montrent crucifié sur deux poteaux réunis en forme de "croix de saint André contiennent des textes splendides sur la fidélité au Christ et l'amour de la croix; saint André leur doit d'être devenu l'apôtre de la croix.. |
Patte serviable patte
Nous a rejoints le : 10 Mai 2004 Messages : 1 280 Réside à : Un coin de Champagne... (après le Berry) |
SAINT ANDRÉ Apôtre (vers l'an 62) Saint André, frère de saint Pierre, est le premier des Apôtres qui ait connu Jésus-Christ, aussitôt après Son Baptême sur les bords du Jourdain. Toutefois son appel définitif ne date que du moment où Jésus le rencontra avec son frère Simon, jetant les filets pour pêcher, dans le lac de Tibériade, et leur dit à tous deux: "Suivez-Moi, Je vous ferai pêcheurs d'hommes." Après la Pentecôte, André prêcha dans Jérusalem, la Judée, la Galilée, puis alla évangéliser les Scythes, les Éthiopiens, les Galates et divers autres peuples jusqu'au Pont-Euxin. Les prêtres de l'Achaïe prirent soin d'envoyer aux églises du monde entier la relation de son martyre, dont ils avaient été les témoins oculaires. Menacé du supplice de la croix: "Si je craignais ce supplice, dit-il, je ne prêcherais point la grandeur de la Croix." Le peuple accourt en foule, de tous les coins de la province, à la défense de son Apôtre et menace de mort le proconsul. Mais André se montre, calme la foule de chrétiens ameutés, les encourage à la résignation et leur recommande d'être prêts eux-mêmes au combat. Le lendemain, menacé de nouveau: "Ce supplice, dit-il au juge, est l'objet de mes désirs; mes souffrances dureront peu, les vôtres dureront éternellement, si vous ne croyez en Jésus-Christ." Le juge irrité le fit conduire au lieu du supplice. Chemin faisant, l'Apôtre consolait les fidèles, apaisait leur colère et leur faisait part de son bonheur. D'aussi loin qu'il aperçut la Croix, il s'écria d'une voix forte: "Je vous salue, ô Croix consacrée par le sacrifice du Sauveur; vos perles précieuses sont les gouttes de Son sang. Je viens à vous avec joie, recevez le disciple du Crucifié. O bonne Croix, si longtemps désirée, si ardemment aimée, rendez-moi à mon divin Maître. Que par vous je sois admis à la gloire de Celui qui par vous m'a sauvé." Il se dépouilla lui-même de ses vêtements, les distribua aux bourreaux, puis fut lié à une croix d'une forme particulière, appelée depuis croix de Saint-André. Le Saint, du haut de sa Croix, exhortait les fidèles, prêchait les païens, attendris eux-mêmes. Une demi-heure avant son dernier soupir, son corps fut inondé d'une lumière toute céleste, qui disparut au moment où il rendit l'âme. Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950. |
Matthieu Dauphin
Nous a rejoints le : 14 Juin 2004 Messages : 379 Réside à : Nantes |
Aujourd'hui premier décembre, bonne fête à
Eloi Florence Loïc Nahum Tudal |
Patte serviable patte
Nous a rejoints le : 10 Mai 2004 Messages : 1 280 Réside à : Un coin de Champagne... (après le Berry) |
merci Matthieu...
comme il y a plusieurs saints aujourd'hui, je commence par la plus importante.... SAINTE FLORENCE Florence consacra sa virginité sous l'autorité et sous la direction de saint Hilaire de Poitiers. Elle vécut recluse à Celle-Levescault (Vienne, France) à partir de 360. Elle y serait morte vers 366, à 29 ans. Ses frères et sœurs, originaires d'Andalousie, ont tous été canonisés par la voix populaire dès les premiers temps : saint Léandre, saint Isidore de Séville et saint Fulgence. Saint Isidore de Séville, son frère, a été déclaré " Docteur de l'Eglise ". |
Patte serviable patte
Nous a rejoints le : 10 Mai 2004 Messages : 1 280 Réside à : Un coin de Champagne... (après le Berry) |
il y a aussi...
SAINT ÉLOI Évêque de Noyon (590-659) Saint Éloi naquit à Chaptelat, à deux lieux de Limoges. Dès son enfance, il se montra si habile aux travaux manuels, que son père le plaça comme apprenti chez le maître de la Monnaie de Limoges. Ses premières oeuvres révélèrent son talent précoce, et, au bout de quelques années, Éloi n'avait pas de rival dans l'art de travailler les métaux. Ses sentiments religieux et ses vertus le rendirent plus recommandable encore que ses talents; on ne se lassait pas d'admirer sa franchise, sa prudence, sa douceur, sa charité. Le roi Clotaire II, ayant entendu parler de lui, le fit venir à la cour, lui commanda un trône d'or orné de pierreries, et à cet effet lui donna une quantité d'or. Le travail fini, Éloi se présenta devant le roi et lui montra le trône. Clotaire s'extasiait devant ce chef-d'oeuvre; mais quelle ne fut pas sa stupéfaction, quand Éloi fit apporter un autre trône aussi beau que le premier, fait aussi avec l'or qu'il avait reçu! Sur-le-champ, Éloi fut nommé grand argentier du royaume, et le roi le garda près de lui. Jusque là, notre Saint avait aimé le luxe; touché d'une grâce de choix, il se détacha des vanités du monde et vécut au milieu des richesses comme un pauvre de Jésus-Christ. Son plaisir était de faire de belles châsses pour les reliques des Saints. Mais surtout il aimait les pauvres. On ne saurait se figurer tous les trésors qui passèrent par ses mains dans le sein des indigents. Aussi, quand des étrangers demandaient à le voir, on leur répondait: "Allez en telle rue, et arrêtez-vous à la maison où vous verrez une foule de mendiants: c'est là sa demeure!" Éloi lavait les pieds des pauvres, les servait de ses propres mains, ne prenait que la dernière place et ne mangeait que leurs restes. Quelle leçon pour les hommes de notre temps, qui parlent tant de l'émancipation des classes ouvrières et vivent dans les jouissances égoïstes! Quand Éloi n'avait plus d'argent, il donnait ses meubles et jusqu'à sa ceinture, son manteau, ses souliers. L'amitié d'Éloi avec le roi Dagobert, successeur de Clotaire II, est devenue légendaire. Un jour Éloi vint lui dire: "Mon prince, je viens vous demander une grâce; donnez-moi la terre de Solignac, afin que je fasse une échelle par laquelle, vous et moi, nous méritions de monter au Ciel." Le roi y consentit volontiers; le Saint y bâtit un monastère. Jamais in ne se fit moine; mais il aimait à visiter les moines et à vivre, de temps en temps, quelques jours avec eux, pour s'édifier de leur régularité. Éloi se vit obligé d'accepter l'évêché de Noyon. Sa vie épiscopale fut la continuation de ses bonnes oeuvres. Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950. |
Patte serviable patte
Nous a rejoints le : 10 Mai 2004 Messages : 1 280 Réside à : Un coin de Champagne... (après le Berry) |
et encore un peu de lecture pour la pette dernière..
AINTE OLYMPIADE Veuve (+ v. 419) Sainte Olympiade ou Olympie, la gloire des veuves de l'Église d'Orient, naquit à Constantinople, de parents très illustres, dont la mort prématurée la laissa de bonne heure à la tête d'une fortune considérable. Élevée au milieu des plus saints exemples, elle était, à dix-huit ans, le modèle des vertus chrétiennes. C'est à cette époque qu'elle fut mariée à Nébridius, jeune homme digne d'une telle épouse. Il se promirent l'un à l'autre une continence parfaite; mais après vingt mois seulement de cette union angélique, Nébridius alla recevoir au Ciel la récompense de ses vertus. A l'empereur, qui voulait l'engager dans un nouveau mariage: "Si Dieu, dit-elle, m'eût destinée à vivre dans le mariage, il ne m'aurait pas enlevé mon premier époux. L'événement qui a brisé mes liens me montre la voie que la Providence m'a tracée." Depuis la mort de son époux, Olympiade avait rendu sa vie plus austère. Ses jeûnes devinrent rigoureux et continuels; elle se fit une loi de ne jamais manger de viande. Elle s'interdit également le bain, qui était dans les moeurs du pays; elle affranchit tous ses esclaves, qui voulurent continuer néanmoins à la servir; elle administrait sa fortune en qualité d'économe des pauvres; les villes les plus lointaines, les îles, les déserts, les églises pauvres, ressentaient tour à tour les effets de sa libéralité. Olympiade méritait assurément d'être mise au nombre des diaconesses de Constantinople. Les diaconesses étaient appelées à aider les prêtres dans l'administration des sacrements et les oeuvres de charité; elles étaient chargées d'instruire les catéchumènes de leur sexe et de préparer le linge qui servait à l'autel; en prenant le voile, elles faisaient voeu de chasteté perpétuelle. Il y avait déjà seize ans qu'Olympiade remplissait ces fonctions, quand saint Jean Chrysostome fut élevé sur le siège de Constantinople. La sainte veuve n'avait pas manqué d'épreuves jusqu'à ce moment; des maladies cruelles, de noires calomnies, lui avaient fait verser des larmes continuelles. Sous le nouveau patriarche elle allait faire un pas de plus dans le sacrifice et dans la sainteté. Saint Jean Chrysostome sut utiliser pour le bien les qualités et la fortune de l'illustre diaconesse. C'est par elle qu'il éleva un hôpital pour les malades et un hospice pour les vieillards et les orphelins. Quand le patriarche partit pour l'exil où il devait mourir, Olympiade reçut une de ses dernières bénédictions. Elle fut entretenue dans ses oeuvres par les lettres du pontife, et acheva en exil une vie toute de charité, de patience et de prière. Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950. sans oublier les autres.. Ananie (+ 345) Ansan (+ 304) Antoine le Jeune (+ 865) Anwarite Nengapeta (+ 1964) Candres (5ème s.) Christian (13ème s.) Diodore (+ 283) Edmond Campion Jésuite, martyr en Angleterre (+ 1581) Hildebert (+ 728) Isère (7ème s.) Jean de Verceil Maître général de l'ordre des frères prêcheurs (+ 1283) Léonce (+ v. 432) Nahum (7è s. av. JC) Natalie Martyr à Nicomédie (3ème s.) Philarète (8ème s.) Procule (+ v. 302) Ursicin (+ v. 347) Saint Airy (521-591) |
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