Ce qui était facile à Archimède de mesure pour un corps pesant environ une soixantaine de kilos et de masse volumique importante est plus difficile à réaliser avec une précision de + - 5% d'erreurs pour un objet de la taille d'une boucle de ceinturon, c'est tout. Pour connaître la composition de l'alliage d'une boucle à part des méthodes empiriques que reste t-il : l'analyse spectographique, la thermoluminescence, ou une analyse en labo d'un prélèvement avec réactions chimiques ? C'est vrai qu'on tombe dans la tetrasectomie capillaire là !
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izard
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