1. Protéger le feu du vent : éviter de faire éparpiller les braises lors d'un coup de vent.


2. S'assurer justement que le feu ne repose pas sur des racines ni sur de l'humus, car c'est le même danger que pour les racines. Le cas échéant, il faudra les couper et/ou bien racler pour enlever la terre noire. Il faut comprendre que les racines ne vont pas bien profondément dans le sol; elles restent en surface, dans la couche de nourriture. Donc en creusant 30 cm, si on ne trouve rien, il n'y aura rien (à moins que vos arbres n'aient rien de commun avec les miens).


3. Bien noyer le feu dans de l'eau lorsqu'il faut l'éteindre. Cela peut requérir plusieurs litres d'eau, surtout si l'air de feu a servi pour plus d'une occasion. Une fois le trou rempli d'eau, il faudra racler le fond. À coup sûr, il y aura du bouillonnement, car le fond de la terre est chaud. Pas question de partir sans que le tout ne soit bien froid. Et ensuite, faire disparaître toute trace du feu en fermant le trou, y enfouissant ainsi les bouts de bois non consumé entièrement. Cela évite à certains scout de jeter aux quatre vent ces tisons qu'ils pensent éteint. Le lendemain, ça demande l'intervention d'un CL-415. Pour se faire, le tas de terre creusé ne doit pas être dispersé!

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Le 2011-02-07 07:56:00, buffle_m a écrit :

Dans leur livret de réglementation qui sort (pour la FSE) une fois par an et qui est livré à tous les chefs en activité.

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