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Auteur | Forumistes poètes |
Af' Le Loup Membre confirmé
Nous a rejoints le : 03 Juil 2004 Messages : 3 870 Réside à : 92 et ... 29 |
Alors qu'elles se dépêchent car d'ici quelques décennies on sera tellement vieux que ça ne nous touchera plus du tout.
Af' |
Hypocam Membre confirmé
Nous a rejoints le : 12 Janv 2004 Messages : 2 017 Réside à : Paris 15ème, mais Normande pour toujours |
Moi aussi je suis en plein examens, franchement j'ai d'autres chats à fouetter (cette fois il ne sont pas dans ma gorge....). Quand ni Muscardin ni moi ne seront plus en exams, ça va y aller...
Et je suis en vacances pour une semaine vendredi soir, youpie |
Albatros D Grand membre
Nous a rejoints le : 15 Déc 2004 Messages : 866 Réside à : je ne suis pas parisienne |
Vivent les vacances !! sauf que moi j'y suis pour deux semaines!! (en vacances) |
Noelala Grand membre
Nous a rejoints le : 17 Août 2004 Messages : 684 Réside à : Grenoble |
C'est toujours pas une vengeance, j'ai pas le temps... c'est un petit poème, comme ça, pour relancer le fuseau...
Une envolée Tu avais sept ans quand ta vie Soudainement s'est arrêtée Tout fut soudain anéanti Tes rêves à jamais oubliés Pour nous te voir partir ainsi Fut difficile à accepter Ta joie était telle un grand cri Un appel vers la puerté Un an après cela j'ai vu Que je ne cessais de penser A tout ce que j'avais vécu A ces instants de volupté Si tu savais ce que j'ai pu Tant de questions sur toi poser Mais je me dis "rien n'est perdu" Tout cela restera gravé A présent il faut reconstruire Ne pas rester dans un chagrin Et éternellement se dire "Pense à la Vie, tu iras loin" Un nouveau départ pour bâtir Une envolée, un beau matin Je te verrai; un oiseau libre Dans un grand vol, parmis les tiens. |
Sterne ED Membre
Nous a rejoints le : 02 Sept 2005 Messages : 45 Réside à : Lyon |
Je n'ai pas le temps de vous faire part de mes poêmes ce soir mais je vous en envois la semaine prochaine en rentrant de pension. |
Rantanplan canidé
Nous a rejoints le : 19 Fév 2004 Messages : 4 261 Réside à : France-désert |
Spéciale dédicace to ____________________ J'te vois plus, où t'eeeeees ??? |
TaguanCdL Pétauriste
Nous a rejoints le : 09 Janv 2005 Messages : 3 010 Réside à : Antibes |
"...
Mon coeur et mon âme se dévouent Mais ici je n'ai que le silence... Tous, ils fuient, pas un seul n'avoue Moi aussi ma douleur est immence. ... Le temps passe et d'heure en heure L'image, transparente comme du cristal Peu a peu dans mon esprit se meurre, Vous n'etes plus que des fantomes pales..." Taguan CdL |
TaguanCdL Pétauriste
Nous a rejoints le : 09 Janv 2005 Messages : 3 010 Réside à : Antibes |
Vague à lames
Et je pleure et j'écris, mon coeur et ma vie... Bercée par le calme de l'océan sonore Mon âme triste erre seule dans la nuit, Et les vagues déferlent encore et encore... Perdue dans ce monde qui n'est qu'illusion Pas un phare au loin n'éclaire mon chemin, J'avance a tatons guidée par mes passions Chaque lame emporte mes espoirs d'un demain... Je reste paralysée par une peur, Peur du naufrage de disparaitre a jamais Un vertige me saisit, je m'enfui... ailleurs! Le vacarne des vagues qui se brisent m'effraie... Je reste, seule, plongée dans ce monde infini Et mon âme tangue sur les flots agités. Une nuit profonde a envahi mon esprit La mer n'est qu'un murmure dans mon reve éveillé... Taguan CdL |
Sterne ED Membre
Nous a rejoints le : 02 Sept 2005 Messages : 45 Réside à : Lyon |
ESPERENCE
Petite fille alsacienne Tu priais malgré tes peines Tu souriais, tu chantais en Jésus Christ tu espérais La joie de vivre dans le coeur Tes yeux pétillants de bonheur Ne ferons jamais oublier Tout l'amour que tu as donné Regarde nous de tout là-haut Petite martyre du très haut Et que les anges dans les cieux T'acceuillent dans la gloire de Dieu Aujourd'hui tu es bien vivante Auprès du Christ pour qui tu chantes Jésus amour Dieu de confiance Fait revivre en nous l'espérence FRATERNITE Sur le baussant il a promis avec sa foi De servir son prochain et d'être toujours prêt Par plaines et coteaux il raconte les explois D'une troupe de scoutes qui foncent sans arrêts De la tente suélevée au fortin imprenable Et d'un pied entaillé à une jeep confortable Il apprend la confiance et la débrouillardise Et offre des cadeaux pour flatter la maîtrise A fond dans l'aventure avec son esprit scout Il met tout son honneur à bien tracer sa route Son regard clair et franc et son ton assuré Le font vivre et grandir dans la fraternité PURETE Par l'innocence de l'enfant Et par son amour triomphant Saura-t-on un jour retrouver Tout le sens de la pureté? Tout' les étoiles du firmament N'attendent plus que ces enfants Pour sortir de l'obscurité La splendeur de la vérité Arrêtez donc de massacrer De mutiler, de suprimer La beauté et l'enchantement Le seul espoire pour ces enfants Le si beau cri de l'innocence Monte vers Dieu avec confiance Arrêtez donc d'exterminer Le seul chemin vers la pureté Si on arrêtait d'écarter Tout l'amour que Dieu a donné Les Hommes auraient le coeur en feu Et les enfants vivraient heureux Prenez enfin un peu conscience De la beauté de l'innocence Pour que le monde soit sauvé Par la puissance de la pureté EXISTANCE Quand tu regardes le feu qui réchauffe ton coeur Quand tu marches sur la route pour trouver le bonheur Quand tu chantes dans les prés pour comprendre le mystère Des coeurs qui malgré leurs peines jamais ne désespèrent Glorifie la beautée de la création du Père Apporte la confiance et la paix à tous tes frères Pense à ceux qui n'ont pas accepté l'Amour de Dieu A celui qui ne peut se chauffer auprès d'un feu Quand tu peux voir un enfant dans les bras de son père Et couler les larmes sur le visage d'un grand-père Quand tu vois tant d'amour dans les yeux d'une maman Qui berce dans ces bras son bébé tout en chantant Rend grâce pour l'existance que Dieu nous a donné Elle rempli tous les êtres et leur apprend à aimer Elle anime notre âme et nous comble de confiance Avec la grâce de Dieu elle nous rempli d'espérence! LES FLEURS DU BIEN Le coucher de soleil Qui éclaire les nuages Le sable chaud qui renferme les cocquillages L'herbe des chemins qui frémis au gré du vent Les harbres qui trônent paisible au milieu des champs L'enfant admirant l'envol d'un papillon Le grand-père sur un ban regardant les vallons Le coucou dans les bois répondant au hibou La croix sur un chemin qui tient encore debout L'amitié de deux coeurs auprès d'un feu de bois La paix qui remplie les âmes quand montent les voix Le visage d'un innocent qui te tend les bras Et le lien étroit qui nous unis toi et moi Ces paysages aussi purs que celui de ton coeur Ces instants de grâce qui me remplissent de bonheur C'est la beauté de tes actes qui me font t'aimer La force de tes valeurs qui me font t'apprécier Le jour s'en va pour laisser les étoiles briller La nuit s'étend sur les coeurs pour les appaiser Le calme des âmes et l'espérence de l'amour Feront naître demain l'aube d'unautre jour! QUE LES PLEURS TREPASSENT Le temps des pleurs a trépassé La tristesse est partie ailleurs La joie de vivre a ratrapée Le temps perdu par le malheur Mon coeur s'est élevé vers Dieu Mes mains ont reccueillis sa grâce Mon âme brûle comme un feu En voyant tout le bien qui passe Le soleil brille dans le ciel Le calme rempli la nature Les anges prient pour ceux qu'ils veillent Et pour toutes les joies futurs Les éclats de rire dans le champ La douceur du son d'une guitare Racontent les joies d'un instant La paix qui descend dans le soir! |
Sterne ED Membre
Nous a rejoints le : 02 Sept 2005 Messages : 45 Réside à : Lyon |
Encore un petit poême sur mon nom de scalpe:
BLANCHE DEMOISELLE! Au gré des vages au gré du vent Sur les rochers de l'océan Une sterne déploie ses ailes Et s'envole vers l'Eternel Elle s'élève pure dans les aires Son cri monte comme une prière Réveuse et sans souci du temps Elle fait fuir le mauvais temps Son calme comme l'océan Sa majesté contre le vent Voudraient dire à la terre entière Qu'elle est la création du Père Belle sterne revient te poser Sur la force de ces rochers Et vient mettre dans nos coeurs gourds Toute la force de l'amour! |
coyote puant vil coyote
Nous a rejoints le : 10 Janv 2006 Messages : 1 059 Réside à : Lyon |
faisons revivre ce vieux fuseau :
poeme deja vu sur le fuseau "joies de la littérature" LE PION Imaginez-le donc, ni beau ni sympathique, une sorte d'hybride de rage et de haine promenant en tout lieu devant lui sa bedaine, précédé à toute heure de son souffle alcoolique. Philosophant whisky, ne rêvant qu'alambic, il va de sa démarche gauche et incertaine, rond comme un gros ballon, comme une outre trop pleine ! Et quand je dis ballon, que ne dis-je barrique ? Ce vieillard cacochyme, attendu des hospices, qui ne connaît pas même le mot dentifrice, hante les bâtiments, la cigarette au bec. Il ne parle d'amour qu'à son Johnny Walker ! Et quand, tout seul, le soir, il a le gosier sec, le vieux chêne ridé devient saule pleureur. |
Thibault Papa ours
Nous a rejoints le : 10 Août 2005 Messages : 1 639 Réside à : Fontainebleau |
en voila deux que j'aime bien, mais ils ne sont pas de moi
L'Amitié Ce qu'elle cherchait? L'amitié... Une personne sur qui compter, Un sourire pour l'encourager, Un coup de main pour l'aider. Ce qu'elle cherchait? L'amitié... Une épaule sur laquelle pleurer, Une voix pour la consoler, Un mot pour l'encourager. Ce que je cherchais? L'amitié! Mais aussi je sais que je l'ai trouvé... Pour le bonheur et la joie que vous m'apportez, Mes amis, je tiens à vous remercier! L'amour, L'amour n'est pas une prison, Mais des portes ouvertes, L'amour n'est pas la possession de l'autre, L'amour ce n'est pas considérer l'autre comme sa chose, Mais c'est respecter sa personnalité et sa liberté, L'amour ne tue pas, Mais il donne la vie, L'amour ne se prend pas, Mais il se donne, L'amour ne sépare pas, Mais il réunit. Celui qui sépare, qui tue, qui enferme, qui prend, qui vole l'âme de l'autre, Ne sait pas aimer et ne saura jamais...." |
Ondine Membre
Nous a rejoints le : 25 Avr 2006 Messages : 33 Réside à : Cusset ( 03 ) |
Oui, c'est vraiment une très bonne idée ce fuseau !! J'aime beaucoup tous vos poèmes, surtout les tiens Etienne ils sont vraiment magnifiques ... et justes au niveau métrique, ce qui n'est pas si courant ! Celui sur le départ m'a vraiment touché
Je vous laisse un des miens ... Crépuscule Les nuages du couchant Bercent l'astre d'Apollon Dans un écrin embrasant Leurs franges d'or en fusion Le soleil meurt, épanchant Les derniers rayons du jour Pour draper le firmament De lumière de velours Les formes du paysage S'estompent en un rêve flou Tandis que la nuit sans âge S'achemine à pas de loup VL |
Ptit Goel Larus argentatus
Nous a rejoints le : 04 Janv 2005 Messages : 559 Réside à : Magnifique refuge pour petit goéland... |
Les messages suivants ont été déplacés.
Qu'il me manque, lieu de mon repos, ce rocher, Au milieu de l'océan, mon si doux foyer, Battu par les vagues, balayé par les vents, Magnifique refuge pour petit goéland. Revenu dans ce monde à la faveur des vents, Je ne trouve ici qu'un oursinet violent, Fin gourmet mais violent, belliqueux comme dix, Répondant au nom de Grizzly-90. Cet animal veut me faire cuire, griller. La belle affaire ! Il ne saurait pas m'attraper ! Moi qui, d'un coup d'aile, dans le ciel peut m'élever, Ai bien de peine à l'imaginer décoller. Cependant grande est ma douleur, lourd mon chagrin, De m'être levé jovialement ce matin, Pour voir ici de mes frères la farandole, Et n'être tombé que sur l'horrible bestiole. Message déplacé |
Grizzly_90 Ursus arctos horribilis
Nous a rejoints le : 30 Nov 2008 Messages : 4 850 Réside à : Natif du Béarn, logé à Belfort ! |
De ce matin, baguenaudant le nez au vent,
L'estomac grondant encore, mais si doucement, Je méditais en moi-même tout tranquillement, Curant délicatement d'une griffe une dent, Des mérites comparés de la volaille A la viande si tendre, douce et légère, Qui plait tant aux oursons et aux belles bergères, Sur ce met qui sait être si fin, ô poiscaille. Quand soudain, surgissant de l'infinie onde, Piaillant, écorchant mes délicates oreilles, Le disgracieux hurleur, revenu au monde, M'arrache, sans douceur, à ma demi-veille. Que puis-je donc faire d'autre, à pareil fat, Que de confronter aux rêves laridiques, De ma lourde et surtout si longue patte L'extrême réalité d'un coup fatidique ? "Petit Goel", sache-le bien : hors sémantique, Point de différence entre grasse mouette Et goéland : car tous deux ne sont, vil avique, Aux yeux de chasseur, que charognards et voleurs. Message déplacé |
epervier loiret Membre confirmé
Nous a rejoints le : 19 Déc 2008 Messages : 3 463 Réside à : Vannes |
c'est le cercle des poètes disparus ici...bravo..... Message déplacé |
Ptit Goel Larus argentatus
Nous a rejoints le : 04 Janv 2005 Messages : 559 Réside à : Magnifique refuge pour petit goéland... |
Ah mon Dieu, donnez moi Votre protection ! Revoici la bête, la tueuse d'oisillons ! Elle me croit sûrement faible sous mon allure frêle Salue, se met en garde, propose un duel. Insolente est elle, qui insulte mes vers, Et de ma voix dirait qu'elle brise le verre ! L'insulte est faite, le duel est accepté, Devant telle niaiserie, il faut éduquer. Contemple, bestiole, mon si gracieux vol, Et compare le donc à ton allure, au sol : Ta marche pataude semble celle d'un ivrogne, Et dans le ciel danse le mangeur de charogne ! Je suis un charognard, c'est bien là ma fierté, Car au moins, des frères qui me furent donnés, Lorsque Dieu nous créa dans Sa grande bonté, D'aucun de ceux-ci je ne fus le meurtrier. Qui donc a dit que je vole, qui ais-je lésé ? Quel est enfin le sens de la propriété ? La justice de Dieu, qui se veut implacable, Me laisse vivre ainsi, de quoi suis-je donc coupable ? Mettrais tu en cause Le plus sage des juges ? Ta critique de ma voix, elle, n'est qu'un subterfuge, Pour cacher la laideur de tous tes grognements Qui parviennent à mes oreilles dans le vent. A mes yeux mieux vaut être mouette ou goéland, Que d'avoir du grizzly le pas hagard et lent. A ton "un temps je dors et un temps j'assassine", Je préfère grandement mes années de rapines. Message déplacé |
Grizzly_90 Ursus arctos horribilis
Nous a rejoints le : 30 Nov 2008 Messages : 4 850 Réside à : Natif du Béarn, logé à Belfort ! |
Que vois-je, que lis-je, la bête est vivace ?
Elle se rebelle, elle criaille, piaille ? Tout cela à mes yeux n'est que pure lavasse L'oiselet peut donc ramasser son attirail. Serein je suis, en moi nulle angoisse : Le Très-Haut pourra juger de la canaille. Laisse donc Dieu aux cieux, parce que le Créateur S'il tolère les éboueurs à plumes, ne leur accorde nul droit Que ne pusse clamer un bon plantigrade. Contemple tes dandinement rétrogrades, Ose comparer à tous ton pas maladroit, Et ce fat organe criard et accusateur ! Je te l'ai écrit, toi l'insolent volatile, Celui du Firmament ne se soucie guère De ceux dont la tête n'est que le support d'un bec. Je t'offre le privilège d'être bifteck, Privilège qui, s'il n'est qu'alimentaire, T'offre au moins le droit de sortir de l'inutile. A toi, le proche cousin du perfide reptile, A toi, dont les oeufs perdus finissent dévorés, A toi, d'humeur versatile comme un volatile, Frotte-toi à moi et tu seras essoré. Tu pourras tant que voudras être volubile, A la fin tu seras en train de m'implorer. Message déplacé |
Ptit Goel Larus argentatus
Nous a rejoints le : 04 Janv 2005 Messages : 559 Réside à : Magnifique refuge pour petit goéland... |
Le Grizzly fatigué pose un genou à terre, Et, qu'éternellement la honte soit sur lui, Il tente de me vaincre en usant de mépris, Se rendant de respect aussi digne qu'un ver. Il baffouille, trébuche, et, dans son huitième vers, Tue de sa griffe l'habitant d'Alexandrie ! Mon organe qu'il dit criard l'accuse et rit : L'oursinet croit connaître les soucis du père, Dans la cuisine se trompe et m'appelle bifteck, Quand chacun sait que ce mot venu d'outre-Manche, Ne désigne rien d'autre que du boeuf le steak. Vois plantigrade tu as du pain sur la planche, Tu crois ainsi pouvoir un jour me mettre à bas, Je dis attaques toujours, et puis à Dieu va ! Message déplacé |
Grizzly_90 Ursus arctos horribilis
Nous a rejoints le : 30 Nov 2008 Messages : 4 850 Réside à : Natif du Béarn, logé à Belfort ! |
Genou dans la fange, harcelé mais non vaincu,
Le Grizzly se redresse encore et encore. Si le huitième a failli, le sujet ardu, Tout autour, ses frères sans faute font corps. Au soir, faute de de lumière, le combat prit fin. Ours et Goéland, chacun de son côté partit Rejoindre qui sa tanière, qui son rocher verdi Avant que trop ne se fasse sentir la faim. A demain. Message déplacé |
epervier loiret Membre confirmé
Nous a rejoints le : 19 Déc 2008 Messages : 3 463 Réside à : Vannes |
Ils feraient un sacré duo sur les planches...
goéland, si grizzly te mange, pas de problème, il sera ainsi ventriloque grâce à toi... Message déplacé |
Grizzly_90 Ursus arctos horribilis
Nous a rejoints le : 30 Nov 2008 Messages : 4 850 Réside à : Natif du Béarn, logé à Belfort ! |
Premier rejailli, l'ursidé bondit aux flots.
Saisissant l'emplumé encore tout endormi, Le plaqua t'au roc et gronda de truffe à bec : "Insolent, je te tiens ! Te voilà en échec. Ne devrais-je pas te mettre en taxidermie ? Il est toutefois vrai que ce fut rigolo..." Relâchant enfin son emprise, l'animal fort Laissa filer, magnanime, son frère tout frêle. La Morale de l'affaire est que si la Force Donne Droit, la Conscience limite le Pouvoir. Et parce qu'il faut finir mes rimes accessoires Que la Muse d'Alexandrie puisse du Bel Ours Avoir de la fierté, même pour la bagatelle, L'ai trois fois embrassée pour respecter l'accord. Message déplacé |
Ptit Goel Larus argentatus
Nous a rejoints le : 04 Janv 2005 Messages : 559 Réside à : Magnifique refuge pour petit goéland... |
Oursinet, que crois-tu donc avoir attrapé ? Un canard ? Une oie ? Un pigeon ? Un rouge-gorge ? Je vais ici et là te faire rendre gorge ! A sept heure levé n'ai pourtant rien posté, Je devais ce matin un examen passer ! Ainsi tu crois là m'avoir pris au dépourvu, Moi qui ait l'élégance d'avoir prévenu ! Un oeuil sur d'autres fils tu aurais pu jeter ! Mon sonnet t'a-t-il sonné ? Baisses-tu le nez ? Mais de ton attaque ne te tiens point rancune, Et te propose maintenant mon amitié. Ne nous donnons plus d'animosité aucune, Nous avons ces derniers jours ensemble bien ri, Arrêtons maintenant cette fumisterie. Message déplacé |
Achille Modérateur
Nous a rejoints le : 19 Déc 2008 Messages : 529 Réside à : Les nefs achéennes |
Voilà. Messages déplacés, comme promis. |
Baloo 4AF Membre confirmé
Nous a rejoints le : 11 Oct 2006 Messages : 995 Réside à : Cloch na Ron, Conamara |
Allez, un p'tit comme ça en passant, de ceux que j'écris l'un de mes préférés car fait avec l'un de mes amis (chacun faisant une strophe, si vous comprenez un peu le principe!!): Et si on sen allait, quon larguait les amarres ? Et si vivre cétait de prendre enfin le temps ? On pourrait sans vergogne sen remettre au hasard Pour parcourir les routes, heureux et insouciants. On partirait sans plus jamais se retourner, Refaire une vie à la croisée des chemins, Faire de nouvelles rencontres, pouvoir changer, Partir seul, partir à deux, mais rêver enfin. Cest tout un univers qui soffrirait à nous Loin de cette routine qui nous endort lesprit. Senivrer dexpériences quitte à sen rendre fous Connaître toutes ces choses que lon appelle "la vie". Loin des préjugés et de la "bonne conscience", Nous pourrions avoir alors une vision nouvelle D'une liberté de penser qui par essence, N'est pas celle, aujourd'hui, prôné universelle. Sans préjuger le monde, aller à sa rencontre Voir de nos propres yeux ce quil peut nous offrir Au lieu de faire confiance aux images quon nous montre Viens avec moi ma belle ! Il est temps de partir ! Dans ce voyage unique et tellement hasardeux, Je suis prête à prendre ta main pour te suivre, Devenir marginaux d' la société de ceux Qui n'ont d'autre ambition que celle de survivre. Une vie toute en couleurs bien loin de la grisaille. Arc-en-ciel permanent né de notre espérance Quon sera plus heureux en délaissant les rails Où les moutons sentassent sans en avoir conscience. |
Ptit Goel Larus argentatus
Nous a rejoints le : 04 Janv 2005 Messages : 559 Réside à : Magnifique refuge pour petit goéland... |
Sur ce fil éxilé pour exprimer ma peine, Faire éclater ma joie mes larmes et mes rires, Et faire connaître à mes frères mes délires, Je constate dès lors que la chose est bien vaine, Ici depuis trois ans plus personne ne passe. Faites goélonner les cloches de l'espoir, Afin que celui-ci renaisse là du noir, Et qu'ici Alexandrie jamais ne trépasse. Car il est vrai qu'à douze ou dix-sept syllabes, L'habitant d'Alexandrie à mon coeur est cher, S'il est était Moby Dick je déjouerais Achab. Certains ont peut-être ici reconnu ma serre, C'est à la forme de mes rimes que je pense, Quoi qu'il en soit j'ai faim, je tire ma révérence. |
Ptit Goel Larus argentatus
Nous a rejoints le : 04 Janv 2005 Messages : 559 Réside à : Magnifique refuge pour petit goéland... |
Mal, mal, mal, de ce fil je sens venir la fin Qui poste encore ? Personne. Que poste-t-on ? Plus rien. On a exilé ici mes alexandrins, Je l'ai accepté, pensant qu'ils y seraient bien. Ainsi arrivés, ils n'ont pourtant pas trouvé, Un autre à aimer, avec qui pouvoir rimer. Mais quel avenir sans pouvoir suivre ou croiser ? S'ils ne trouvent pas des autres à pouvoir embrasser ? J'ai donc pris une décision qui est d'arrêter, Du moins temporairement, peut être à jamais, De venir sur ce fil les coucher sur la toile. Je pars sans un regard, le vent gonfle mes voiles, Je vais sur d'autre fils aller les distiller, Car peut-être ne suis-je qu'un petit oisillon, Mais je crois bien pouvoir toujours les protéger, Et si ici trépassent, là bas refleuriront. |
Grizzly_90 Ursus arctos horribilis
Nous a rejoints le : 30 Nov 2008 Messages : 4 850 Réside à : Natif du Béarn, logé à Belfort ! |
Parfois il convient d'oser.
Et de douze à sept tomber. Renouvelant l'exercice, Plus difficile même qu'à six. |
Ptit Goel Larus argentatus
Nous a rejoints le : 04 Janv 2005 Messages : 559 Réside à : Magnifique refuge pour petit goéland... |
Faute d'alexandrins je crains le coup de griffe, Que Grizzly contre tes propos ne se rebiffe. Cours, va donc vite te cacher petit chevreuil, Ou bientot on n'pourra que t'offrir un cercueil. Pour pourrir des forums existent deux moyens, Le mal ou le bien, la prose ou l'alexandrin. Message déplacé |
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