Si on prend l'exemple de l'Allemagne (ou du Yémen) pendant des décennies nous avons eu deux pays séparés, et même souvent antagonistes, et puis, un beau jour, le mur est tombé, le peuple (la base si vous voulez, pas un leader charismatique) a renversé le mur. Bien sûr il n'y avait pas que cela, mais quel symbole ! Un jour peut être le peuple scout renversera le mur qui sépare les SGdF des SUF (et puis aussi des GSE ?). Bien sûr cela semble vu d'ici impossible, mais dans l'avenir ? Mais comme disaient les marines US "The difficult we do at once, the impossible just takes a little longer" ou si vous préférez "ils ne savaient pas que c'était impossible, ils l'ont fait". Si on veut voir loin, si on veut toucher le maximum de jeunes, si on veut que le scoutisme en France survive au XXI° siècle c'est, à mon humble avis, la meilleure solution : l'union (je ne dis pas la fusion ni l'unification à la jacobine). C'est cela ou disparaître, car le communautarisme scout c'est le risque d'arriver un jour au maximum possible de taux de recrutement au sein de son vivier potentiel qui ne cesse de se réduire (bah oui le catholicisme depuis cinquante ans en France ne cesse de perdre du terrain, j'en prend pour preuve les enquêtes de "La Croix").