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Madame, Monsieur,
Il y a quelque temps maintenant, nous avons eu l'occasion de vous faire
découvrir notre revue. Le numéro 105 (automne 2009) étant paru au début du mois
d'octobre, nous nous permettons de revenir vers vous pour vous la présenter à
nouveau.
Depuis sa création il y a plus de vingt ans, Catholica poursuit une réflexion de
fond sur les questions soulevées par les évolutions des sociétés contemporaines,
s’attachant à en dégager les grandes tendances, par-delà les événements qui en
composent l’actualité, à l’intérieur comme à l’extérieur de l’Eglise catholique.
Dans une approche pluridisciplinaire et internationale, la revue aborde une très
large variété de thèmes (philosophie, sociologie, droit, histoire, art,
questions religieuses...), en usant d'une grande ouverture d'esprit.
Catholica entend concilier cette ouverture d'esprit avec la recherche exigeante
de la vérité. La première implique un ton non polémique, des efforts pour ne
froisser personne, et surtout pour rendre à chacun ce qui lui est dû,
c'est-à-dire prêter attention à la pensée d'autrui sans considération de son
appartenance. Dans cette optique, une place importante est délibérément faite
aux événements et aux mouvements d'idées hors de France, avec une attention
particulière à l'Europe, notamment l'Italie, l'Allemagne, la Belgique et
l'Espagne, et aux Etats-Unis et l'Amérique latine. En contre-partie, l'exigence
de vérité conduit à affronter sereinement le mur du conformisme et de la
modération de principe.
Le numéro 105 de la revue Catholica, d'un volume de 164 pages, comporte un thème
principal : « Refonder le lien social ». Devant le véritable démantèlement des
bases de la société auquel nous assistons dans cette période ultime de la
modernité, la question se pose de savoir comment envisager le retour à une vie
sociale digne de ce nom, et dans quelle direction pratique s’orienter
(éditorial, par Bernard Dumont). Deux cas sont symptomatiques : celui de la
Grande-Bretagne en décomposition (entretien avec Matthew Fforde), et celui de
l’expansion des suicides de jeunes (Carlo Gambescia).
Cette régression anthropologique forme le centre d’intérêt d’un grand écrivain
roumain, H.-R. Patapievici (Monica Papazu), et elle trouve une explication
fondamentale chez le philosophe Augusto Del Noce (C. D. Lasa). Et face au
désastre, une certaine théologie s’élabore, non pour fournir les armes d’un
redressement, mais pour acquiescer : la « nouvelle théologie politique » de
Johann Baptist Metz (Julio Alvear), et toute une littérature religieuse
prétendument « compassionnelle » (Laurent Jestin).
Parmi les autres articles de ce numéro, signalons une longue réflexion sur «
L’éthique militaire et ses enjeux actuels » (Jacques Bonnet), l’autobiographie
intellectuelle du peintre Georges Brunon, une critique de la « politique de
civilisation » proposée par Luc Ferry (Kostas Mavrakis), un exposé sur la place
des symboles dans la liturgie (Jean Borella). Avec également les recensions et
notices bibliographiques variées sur de nombreuses parutions récentes.
Pour vous permettre de prendre plus ample connaissance du contenu du numéro 105,
nous vous en joignons ici le sommaire complet, ainsi que l'article du père
Laurent Jestin. Vous trouverez également un bulletin d'abonnement, si vous
souhaitez vous abonner à notre revue.
Vous trouverez également sur le site de la revue Catholica, www.catholica.fr, de
plus amples renseignements sur les précédents numéros parus. Vous y aurez
notamment la possibilité d'accéder aux sommaires des 104 numéros déjà parus,
ainsi qu'à certains articles publiés, sous forme d'extraits ou en texte intégral.
Nous vous indiquons par ailleurs que vous avez la possibilité de procéder au
règlement de votre abonnement ou de toute autre commande, par Paypal (notre
adresse de compte : revue.catholica [arobase] gmail.com).
Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos sentiments
respectueux.

(...)

PS : Si toutefois vous n'êtes pas intéressé, nous vous remercions de bien
vouloir nous l'indiquer, en répondant à ce courrier, afin de ne pas vous
importuner ultérieurement.

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Bonjour,

Premièrement, je ne vous connais pas et je ne vous ais jamais autorisé à envoyer de la publicité sur mon adresse électronique. Je serais d'ailleurs curieux de savoir comment vous avez obtenu cette adresse.

Deuxièmement, n'étant ni catholique, ni baptisé, et préferrant de loin la bière bon marché au vin de messe, vous comprendrez aisément que non seulement je ne suis pas intéressé par le contenu de votre mail, mais que en plus celà m'importune profondément de recevoir ce genre de publicité.

En conséquence, notre relation electronico-epistolaire va cesser dès à présent, et je vous serais gré de bien vouloir comprendre et surtout respecter mon choix. Dans le cas contraire, je me verrais dans l'obligation de signaler le fait à qui de droit.

Merci

Revue intellectuelle assez intéressante, mais je comprends que tu ne sois pas intéressé...
Démarchage via le forum, ou via un internat du côté d'Epinal ou via...

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Je serais d'ailleurs curieux de savoir comment vous avez obtenu cette adresse.
En conséquence, notre relation electronico-epistolaire va cesser dès à présent, et je vous serais gré de bien vouloir comprendre et surtout respecter mon choix.