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probleme médical chez un louvetaux
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sarigue
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Moi, j'vois un fil sur le secourisme, je fonce!

Bon, alors, non. En CEP (1er degré et FSE, en tout cas) rien de particulier n'est dit là-dessus.
Mais z'avez d'la chance: ch'uis là! Quoi? Prétentieux, moi? Meeeuuhh nooon!

Bref, je ne vais pas tout traiter (il est tard là), mais puisqu'on est sur le cas particulier de l'épilepsie, nous commencerons par là.


Alors, d'abord, en cas de crise -et particulièrement durant la phase convulsive- ce qu'il faut faire, c'est... rien! Enfin, en tout cas, rien sur la victime.
Mais reprenons. Une crise d'épilepsie se déroule en 3 phases (ceux qui sont "dans le métier" me corrigerons si je dis des bêtises):

1ere phase: absence.
La victime semble soudain "absente" et "déconnectée".
C'est durant cette phase que l'on peut tenter de "réveiller" la personne en la secouant un peu ("Hé, t'es là?").

2e phase: crise convulsive
Là, rien à faire! Il faut attendre que ça passe en évitant que la victime puisse se blesser:
- On écarte les autres
- On écarte tout ce qui pourrait blesser la victime (qui, dans sa crise, est totalement inconsciente)
- Si vraiment on ne peut pas écarter le danger (cas typique: crise près du feu, ou au bord d'un qui), on tente -autant que faire se peut, durant une phase plus calme de la crise- de dégager la victime: on attrape les poignets (ou les chevilles), on tire sur quelques metres, on lâche tout, et on s'écarte! Une victime en pleine crise d'épilepsie est potentiellement dangereuse: tout ce qui arrive est perçue comme une agression et augmente le risque de se prendre des coups. Donc: on s'éloigne et on attend. On ne cherche pas à mettre quelque chose -et à plus forte raison son doigt- dans la bouche de la victime!. Si elle doit se mordre la langue, elle se mordra la langue. C'est clair?

3e phase: Inconscience "calme".
La victime est inconsciente, mais totalement au repos (cas d'école AFPS).
On la place alors en PLS si elle est sur le dos (NB: si la victime est sur le ventre, c'est inutile!), mais toujours en faisant attention: une nouvelle crise peut arriver!
Il est toujours bon de vérifier la respiration.

A noter: à son réveil, la victime ne se souvient pas de sa crise.
Par ailleurs, après la crise, vérifier qu'elle ne ce soit pas mordue la langue. Si c'est le cas, ça peut nécessiter quelques points de sutures...

Prévention:

Malheuseusement, en dehors des médicaments, c'est assez difficile. Une crise peut survenir un peut n'importe quand. Il peut toutefois exister des facteurs pouvant risquer de déclencher une telle crise: lumières clignotantes, scintillements (c'est pour cette raison que rester devant un écran -en particulier de type cathodique- est déconseillé), etc.
Le mieux est encore de savoir quels sont les facteurs particulièrements risqués (cela dépend de chaque cas). Mais la fiche sanitaire de liaison est là pour ça!

Hors de la crise... Quelle conduite en camp?

Bien entendu, le loup/scout prend ses médicaments aux heures et en quantité prescrites en présence du responsable infirmerie (sauf s'il est nécessaire qu'il en ait toujours sur lui).
Pour ce qui est de prévenir le reste de l'unité, il est rappelé que toute personne responsable de soin (en particulier le responsable infirmerie) est soumis à une discrétion médicale. Toutefois, dans le cas particulier de l'épilepsie, il peut être (très) utile de prévenir le reste de l'unité, et en particulier la sizaine/patrouille, afin de leur apprendre à réagir en cas de crise (on n'est pas toujours derrière tout le monde!). Mais il est entendu que cela se fait en accord avec la personne concernée!
Cela peut d'ailleurs faire l'objet d'un jeu sur le secourisme

Quant à l'accepter ou non dans l'unité, je n'y vois a-priori aucun inconvénient. Eventuellement, pour mettre les choses au clair et mettre tout le monde d'accord, il est sans doute possible de demander un certificat médical de "non contre-indication" au camping, à la participation à un camp, ou que sais-je encore.

[ Ce Message a été édité par: ElecScout le 29-05-2006 à 23:38 ]
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ElecScout dans le déroulement de tes phases (qui sont exactes ) tu parles de crises totales, mais la majorité des enfants (du moins avant 12-14 ans) sont en crises partielles...
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sarigue
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C'est possible. Je connais assez peu les cas pédiatriques

Bon. Aujourd'hui: Le diabète. (et comme d'hab, ceux qui en savent plus apporterons les précisions et les corrections nécessaire, en particulier pour le cas des enfants)
Cela peut paraitre bénin aujourd'hui, mais le diabète peut mener, s'il est mal pris en charge, à un coma entraînant la nécéssité d'un traitement par des équipes médicalisée

Le diabète, vous en avez sûrement tous entendu parlé, est dû à un "problème" d'insuline. Je dis "problème" car ce n'est pas nécessairement un manque. Il exsite en effet deux types de diabète: le type 1, ou "insulino-dépendant", et le type 2, ou "non insulino-dépendant".

Mais commençons par le commencement.
Un peu de biologie. (ça peut parraitre saoulant à certain, de ne pas aller droit au but, mais ça aide à comprendre. Les phrases importantes sont en gras. Donc, vous pouvez lire en diagonale si les détails ne vous intéresse pas)

Pour vivre, ou plus exactement, pour que nos cellules vivent, il faut principalement deux choses:
- Du sucre.
- De l'oxygène.
(il se produit dans chaque cellule une réaction chimique comparable a une combution: le sucre est "brulé" avec l'oxygène, donnant de l'énergie -de la chaleur entre autre- et des déchets -le CO2-)
C'est ici le sucre qui nous intéresse.
Comme tout nutriment, le sucre est transporté avec le sang dans les vaisseaux sanguin. Nous l'avons dit: ce sucre doit ensuite rentrer, être absorbé, par les cellules pour pouvoir être utilisé. C'est une hormone, l'insuline, qui permet au sucre d'entrer dans les cellules (et également de stocker ce sucre dans le foie). On dit que l'insuline est une hormone hypoglycémiante (elle fait baisser la glycémie, c'est à dire, le taux de sucre dans le sang: logique, puisque le sucre est absorbé par les cellules, cela provoque une diminution de sa quantité dans le sang) L'insuline, en se "fixant" aux cellules sur des récepteurs adéquats, "déverouille" l'entrée et permet au sucre d'intégrer la cellule.
En fait, il y a une "auto-régulation" grâce au pancréas (qui produit l'insuline) et au foie selon le schéma (pour simplifier):
Trop de sucre?-->Insuline (par pancréas)-->Stockage & Absorbtion du sucre-->Diminution de la qté de sucre
Manque de sucre?-->Glucagon (par pancréas)-->Libération de sucre par le foie-->Augmentation de la qté de sucre
Le diabète est dû au fait que le sucre ne peut être absorbé par les cellules (ou en tout cas, pas en quantité suffisante)
Au vu de ce que nous venons de dire, on constate qu'il peut exister deux raisons (d'où deux types de diabète):
- Un manque d'insuline
- Un problème "d'accroche" de l'insuline à ses récepteurs
Dans tous les cas, le sucre présent dans le sang ne peut être absorbé par les cellules. D'où ce paradoxe: Le sang est plein (mais vraiment plein) de sucre, et pourtant, le corps manque de sucre! Conséquences: la victime est faible, tombe et s'essouffle au premier effort, manque de force, etc.
(NB: d'autres éléments permettent de fournir de l'énergie. C'est le cas des graisses. Mais celles-ci sont plus longues à mobilisée et n'entrent donc en jeu qu'en cas d'effort prolongé. C'est bien le sucre qui est utilisé en premier et qui est donc indispensable. (au passage, remarquez que cela signifie que pour maigrir -donc, perdre des graisses-, c'est un effort prolongé qu'il faut faire. Par exemple, une petite course d'endurance.

1. Le cas du manque d'insuline (type 1)

Ou "diabète insulino-dépendant" (DID). Il est aussi appelé "diabaite maigre" (en raison de l'amaigrissement comme l'un des premiers symptômes Ce qui ne signifie pas que les maigres soient tous diabétiques!) ou "diabète juvénile", car il touche plus particulièrement les plus jeunes (c'est donc bien ce cas qui nous concerne particulièrement)

Dans ce cas, le traitement est évident et simple: puisque le foie ne peut produire assez d'insuline, il faut l'amener "par l'extérieur". Autrement dit, cela suppose une injection d'insuline régulière (selon prescription).
Cela ne pose aucunement problème et le responsable infirmerie n'a qu'à veiller à ce que cette injection soit faite. Le sujet diabétique est formé à surveiller sa glycémie et à se faire lui-même son injection, même au plus jeune âge
Au vu de ce que nous avons dit plus haut, on comprend alors que l'insuline, permettant au sucre de pénétrer dans les cellules, va faire baisser la quantité de sucre dans le sang. Il faut donc renouveler ce sucre, sous peine de voir la victime à nouveau faible et sans force, et ce pour la raison inverse: cette fois, le sucre pénètre bien dans les cellule, mais la quantité de sucre présente s'épuise! Rapidement, elle n'est plus suffisante. Autrement dit Après une injection d'insuline, il faut manger. Et quand je dit "manger", c'est faire un vrai repas. Il faut donc veiller à ce que le diabétique mange convenablement. Il est impensable qu'une injection d'insuline soit faite alors que la personne n'a rien mangée lors de son dernier repas, et qu'elle ne s'apprête pas à manger!. Nous l'avons dit: cela provoquerais une hypoglycémie.

2. Le cas de l'inefficacité de l'insuline (type 2)

Ou "diabète non insulino-dépendant" (DNID), ou encore "diabète "gras"", ou "diabète de la maturité".
Plus délicat, puisque c'est le cas où l'insuline, pourtant présent, ne parvient pas à se fixer aux cellules.
Ce cas ce traite par des médicaments et régime. Cela suppose:
- Que l'intendant veille au régime en question => prendre connaissance de la fiche sanitaire, des recommendations des parents, etc.
- Que l'assistant sanitaire (responsable infirmerie) fasse son boulot: récupérer médocs et ordonnance, et veiller à la prise des médicaments en quantité et aux heures prescrites.
Si nécessaire, selon les cas, ce type peut AUSSI se traiter par l'insuline.


EN CAS DE CRISE D'HYPOGLYCEMIE

Face à un loup/scout, qui se sent exceptionnelement faible -et pas seulement un peu "fatigué"- (en particulier suite à un effort), plusieurs questions sont à se poser:

- Est-il diabétique?
Si non, on peut lui donner de l'eau très sucré: très efficace. A peine avalé, et ça repart! (par contre, cela nécessite un bon repas ou un bon goûter derrière. L'eau très sucré, c'est efficace, mais ça dure peu)
Si oui, d'autres questions sont à se poser avant d'agir:

- Est-il insulino-dépendant?
(je passe sur cette question. La réponse est généralement "oui". Si ce n'est pas le cas, vérifier que les traitement sont pris et passer à la suite)

- As-t-il pris sa dose d'insuline?

Si oui:
As-t-il mangé "normalement"? Si oui, donner de l'eau très sucré et vérifier que ça passe. Si ça ne passe pas, appeler des secours (ne pas hésiter à composer le 15 en camp si c'est nécessaire: on ne vous le repprochera jamais (en revanche, on peut vous repprocher de ne pas avoir agit)
Si le repas n'a pas été pris, ou qu'il s'agit d'un repas (trop) léger: Ici aussi, donner de l'eau et du sucre dans un premier temps, puis donner à manger quelque chose de plus consistant. Encore une fois: Un diabétique qui a pris sa dose d'insuline DOIT manger

Si non (si la dose d'insuline n'a pas été prise)
As-t-il mangé "normalement" (voire trop sucré)? Si oui, faire prendre l'insuline. Si possible vérifier tout de même la glycémie (les diabétiques ont souvent un glucomètre (ou "dextro"). Vérifier qu'il soit emporté en camp... Avec des piles neuves s'il s'agit d'un appareil électronique). A jeun, le taux "normal" doit se situer entre 0,8 et 1,1 g/l (gramme par litre (de sang)), ou, selon l'unité utilisée, entre 4 et 6,1 mmol/l (milimole par litre). Au-delà, c'est que le sucre n'est pas absorbé-->Vérifier que l'insuline ait été prise. Si non, la faire prendre. En-deça, il y a un manque de sucre dans le sang-->Donner de l'eau très sucrée, en particulier si l'insuline a été prise.
(NB: selon les cas, la glycémie peut être prise après absorbtion de sucre. Mais le diabétique y est sensibilisé et sait tout ça)
Si le repas n'a pas été pris, ou qu'il s'agit d'un repas (trop) léger: Eviter de faire prendre l'insuline! Nous avons expliqué pourquoi plus haut (risque d'hypoglycémie). C'est ici que le glucomètre peut être utile.

Mais souvent, le diabétique est formé. Il sait vérifier sa glycémie et savoir s'il doit ou non prendre son insuline. Il sait aussi qu'il doit manger après.

Dans tous les cas, en cas de doute, NE PAS HESITER à composer le 15 (SAMU)


Les effets pervers du diabète

On pourrait penser "du moment que le traitement est bien pris, on vit normalement".
Oui.
Sauf que...
Sauf que le diabète à d'autre effets, qui peuvent être assez pervers. Je ne les détaillerais pas tous, mais il y en a un en particulier qui me semble important: Le diabète atténue la douleurs. Autrement dit, les diabétiques sont moins sensibles à la douleur
Cela peut sembler un avantage. Sauf que la douleur étant un message d'alerte, l'atténuer risque de faire passer pour bénin ce qui peut être plus grave.

Résumons-nous

Prise d'insuline <--> Un bon repas
Pas de repas --> Pas d'insuline !!
En cas de crise:
Insuline prise? --OUI--> Eau très sucré
Insuline prise? --NON--> Repas? --OUI--> Insuline à prendre
Insuline prise? --NON--> Repas? --NON--> Sucre (glucométie avant si possible) et éventuellement, appel au 15



Bon. Voilà. On passera à l'asthme plus tard.
Et comme d'habitudes, si certains connaissent mieux ce sujet et que j'ai raconté des bêtises, n'hésitez pas.
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Concernant le diabète, je donnerais quelques précisions:

un "vrai repas" est un repas avec des sucres lents et des sucres rapides: féculents (pain, pates, riz, céréales, légumes secs,...) et sucres rapides (fruits, carottes, tomates, poivrons,...)
Donc: la quantité de sucres lents est à respecter ( varie selon l'age de l'enfant, correspond à la quantité moyenne que vous trouverez dans les cahiers d'intendance, ou les bouquins avec idées de menus pour collectivité); il faut modérer les sucres rapides.
Par contre, si un enfant a faim, ne pas hésiter à le reservir en viande ou légumes: pas de sucres dedans, donc pas de souci!! (enfin, s'il n'y a pas de sauce autre que le jus naturel de la viande ou des légumes).

en cas d'hypoglycémie, donner du sucre: 5g de sucre pour 20kg de poids de l'enfant (5g de sucre: un morceau de sucre de taille standard) (donc 1.5 à 2 sucres pour un louveteau, 2 à 3 sucres pour les scouts, mais les enfants savent combien il leur en faut.)

Une hypoglyécmie se caractérise par une glycémie inférieure à 0.7 g/l, il faut la traiter comme telle en dessous de ce chiffre.
Quelle que soit l'hypoglycémie, donner une dose de sucre, attendre que l'enfant aille mieux, puis lui donner un féculent ( une tranche de pain avec du fromage ou du beurre, 3 petits lu, 1 ou 2 madeleine,...)
Si l'enfant ne va pas mieux au bout de 10 minutes, redonner 1 ou 2 sucres (1 pour un louveteau, 2 pour un scout).
Si cela ne suffit pas, refaire une glycémie 20 minutes après la première, et redonner du sucre. Un appel aux parents ou au médecin traitant (ou au service hospitalier ou est suivi l'enfant) peut s'avérer très utile pour la conduite à tenir en cas d'une hypoglycémie importante de ce type.
Si l'enfant ne semble pas suffisement concient pour avaler du sucre, mouiller le sucre, et le glisser entre la joue et les dents, et frotter sur la joue, cela permet de dissoudre le sucre et accélère son absorption.

Concernant l'injection d'insuline: certains enfants peuvent la faire APRES le repas, et donc adapter leur dose à ce qu'ils ont mangé. Certains peuvent avoir besoin de faire une injection 10-20 voire 30 minutes avant le début du repas. c'est important de tenir compte de ce délai, il est éventuellement possible de lae raccourcir, mais il ne faut surtout pas allonger ce délai. Par contre, l'enfant peut aire sa glycémie à 11h30, et son injection à 12h, pour manger à 12h10, cela ne pose pas de problème.

Respecter les habitudes de l'enfant concernant les collations et gouter: certains peuvent avoir un gouter à 10h, d'autres n'y ont pas le droit, et même chose à 16h. avec parfois des injections pour pouvoir manger...

Enfin, je reviens à ce que j'ai déjà dit: en cas de doute, APPELEZ les PARENTS ou le médecin traitant de l'enfant; qui sont ceux qui connaissent le mieux le diabète de l'enfant.


Plus d'infos sur le site: www.diabete-france.net
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Concernant l'injection d'insuline après le repas, il suffit de penser un peu au rôle et au fonctionnement de l'insuline pour comprendre que l'injection peut aussi avoir lieu un peu après. L'important étant de ne pas rester à jeun en ayant pris sa dose d'insuline. Je ne l'avais pas précisé pour ne pas tout embrouiller. Le post est déjà assez complexe, surtout pour celui qui veut simplement savoir QUOI FAIRE.
Mais ton post à le mérite d'apporter les précisions. Merci.


De toute façon, tout devrait être indiqué dans la fiche sanitaire de liaison. En prendre connaissance, et respecter les consignes. Et tout ira bien.
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