Les œuvres originales de quelqu'un deviennent de moins en moins nombreuses avec le temps, puisque la production cesse avec la disparition de l'auteur. Certaines sont détruites par les aléas de la vie, d'autres restent dans les collections.
Il n'y a donc pas de quoi s'indigner si elles prennent de la valeur.
Les reproductions n'ont de valeur que par le nombre de tirages effectués et le procédé de copie (litho, photocopie, etc.).
Comme tout, il y a une cote officielle, celui qui veut payer le prix proposé même s'il est surévalué, en a le droit.