J'ajouterai aussi que la cérémonie pénitentielle collective (et non l'absolution) permet aussi de souligner la dimension ecclésiale du sacrement. Les grâces que nous recevons lors du sacrement permettent notre sanctification, mais aussi celles de l'Eglise toute entière ; c'est ce que dit St Paul me semble-t-il, en disant que si un membre de l'Eglise est à l'honneur, tout le corps se réjouit avec lui. Si un membre souffre, tout le corps souffre avec lui.
Je ne sais si dans l'ancien rite la lecture de la parole de Dieu était obligatoire ou facultative ; il me semble que c'est un bon moyen de se mettre en présence de Dieu.