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Chez la population musulmane des grandes villes, qui côtoyaient souvent des Scouts français il a fallut attendre vingt ans pour lancer en 1935, Ie groupe El Fallah à Alger et surtout à partir de 1936 pour les autres villes, alors que les clubs sportifs ont commencé à s'ouvrir dès l'application de la loi du 1er juillet 1901. La raison principale de ce retard s’explique par le fait qu’en Algérie des années 30, les hommes se coiffaient de chéchia ou de turban. Porter un chapeau, c'était « haram », un pèché ; les rares Algériens qui portaient le chapeau ou la casquette étaient considérés comme « infidèles » à leur peuple et à l'Islam.

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Les bérets ont des dispositifs qui les rendent très attrayants aux militaires : Ils sont bon marché et faciles pour faire dans de grands nombres, ils peuvent être fabriqués en éventail de couleurs pour augmenter la branche ou l'esprit de corps régimentaire, ils peuvent être enroulés et bourré dans une poche sans dommages et eux peut être porté avec des écouteurs (c'est l'une des raisons pour lesquelles le réservoir sert d'équipier est venu pour adopter le béret). Cependant, ils ne sont pas aussi utile en conditions de champ pour un soldat d'infanterie, car ils n'offrent pas la protection pour le visage contre le soleil et la pluie qu'un chapeau débordé fait une pointe ou large.