Fil à la patte comme le bracelet électronique des détenus en liberté conditionnelle : après le patron-voyou le patron-maton. Logique irréfutable, mais c'est antisyndical !
Belle conception d'indépendance et de liberté exigée, ne trouvez-vous pas ?
On comprend que les femmes se mettent une chaîne autour du cou, non pas pour le bijou mais pour le présentoir ; cependant, je m'interroge toujours sur l'inconstance et l'incohérence de l'humain de s'aliéner à autrui.